Le débat sur une possible grâce accordée à l'ex-maire de Dakar, emprisonné pour détournement de deniers publics dans l'affaire dite de la Caisse d'avance, continue à animer les débats. Mais pour le ministre-conseiller en Communication du président de la République, Seydou Gueye, ce débat ne rend pas service à Khalifa Sall. "Je pense que c'est un débat qui est agité. Il est important de replacer le droit de grâce dans son contexte", déclare-t-il avant de rappeler que la grâce "est un droit constitutionnel qui est reconnu au chef de l'État et qui n'est assujetti à aucune condition ".
Le ministre Conseiller en charge de la Communication à la Présidence de poursuivre : " ça m'étonnerait de voir que le président de la République, tel que nous le connaissons, puisse poser des conditions à l'exercice d'un droit qui est un droit discrétionnaire". Pour le Porte-parole de l'Alliance pour la République (Apr), parti au pouvoir, " ceux qui agitent ce débat ne rendent pas service à Mr Khalifa Sall". Car , souligne-t-il, " ce n'est pas utile de mettre une pression".
Le ministre Conseiller en charge de la Communication à la Présidence de poursuivre : " ça m'étonnerait de voir que le président de la République, tel que nous le connaissons, puisse poser des conditions à l'exercice d'un droit qui est un droit discrétionnaire". Pour le Porte-parole de l'Alliance pour la République (Apr), parti au pouvoir, " ceux qui agitent ce débat ne rendent pas service à Mr Khalifa Sall". Car , souligne-t-il, " ce n'est pas utile de mettre une pression".
Autres articles
-
Inauguration du nouveau siège de l’AICS au Sénégal : la Coopération italienne s’engage au développement durable
-
Cadre de concertation des citoyens : une présentation publique d'un manifeste prévue
-
Les mesures de Diomaye sur le foncier : « Il faudra y aller avec intelligence et prudence », selon Abdourahmane Ndiaye
-
Rapport Cour des Comptes : le DG de l'ASER invité à rembourser 29.400 litres de carburant estimé à 20.433.000 francs CFA
-
Affaire- APROSI : le cabinet Scat international donne sa version des faits