Tous les prévenus de 2018 à 2019, de la maison d'arrêt et de correction (Mac) de Mbour (ouest du Sénégal) ont démarré ce mardi 2 avril une grève de la faim. D’après les informations parvenues à PressAfrik, les détenus ont refusé ce matin leur ration de petit-déjeuner. Ainsi, ils ont retourné tous les pains.
À en croire le communiqué du Front pour une Révolution Anti-impérialiste, Populaire et Panafricaine (FRAPP), les motifs de ce mouvement d’humeur sont « les longues détentions préventives, politique discriminatoire de la chambre criminelle de Mbour et non respects des engagements. »
Par ailleurs, le mouvement n’a pas manqué d’exprimer sa préoccupation. « Après les prisons de Gossas, Koutal, aujourd'hui ce sont les prisonniers de Mbour qui sont en grève de la faim », lit-on sur le document. Ainsi, il interpelle à nouveau le ministre de la Justice et le président Macky Sall sur « les conditions carcérales inhumaines et dégradantes. »
À en croire le communiqué du Front pour une Révolution Anti-impérialiste, Populaire et Panafricaine (FRAPP), les motifs de ce mouvement d’humeur sont « les longues détentions préventives, politique discriminatoire de la chambre criminelle de Mbour et non respects des engagements. »
Par ailleurs, le mouvement n’a pas manqué d’exprimer sa préoccupation. « Après les prisons de Gossas, Koutal, aujourd'hui ce sont les prisonniers de Mbour qui sont en grève de la faim », lit-on sur le document. Ainsi, il interpelle à nouveau le ministre de la Justice et le président Macky Sall sur « les conditions carcérales inhumaines et dégradantes. »
Autres articles
-
CFEE : les Inspecteurs de l’éducation et de la formation invités à développer des stratégies pour booster les résultats en 2024
-
Anta Babacar invite les femmes à se lancer dans la politique et ne pas se contenter des nominations
-
Chocs extérieurs, contexte difficile : le FMI salue la résilience de l’économie sénégalaise en 2023
-
Sénégal : le FMI prévoit une baisse de la croissance économique pour 2024
-
Faible représentativité des femmes : les féministes plaident "l'inclusion des femmes et des filles" dans les instances de gouvernance