La journée internationale de la Femme est fêtée le 08 mars de chaque année ce depuis 1977 date à laquelle les Nations Unies l’ont officialisée. Une occasion pour les ONG, les mouvements et structures de la défense des droits de la Femme et les gouvernements de faire une rétrospective sur la situation de la femme dans leur sphère sociogéographique afin de prendre des mesures idoines.
Au Sénégal, c’est également une occasion d’interpeller les autorités compétentes sur la situation de la femme. Selon le mouvement Taxaw Temm dans sa déclaration, en prélude du 08 mars 2013 (Journée internationale de la Femme), les femmes sénégalaises, « qu’elles vivent dans les campagnes ou dans les villes, elles sont encore nombreuses à subir des agressions physiques, psychologiques, sexuelles, économiques ou spirituelles et leurs possibilités de résistance sont à élargir et à renforcer. (…) ».
Première à se lever et dernière à se coucher, la femme sénégalaise si « elles participent activement à l’économie du pays, elles sont généralement cantonnées dans l’économie informelle ou occupent majoritairement des postes subalternes dans le secteur formel. A cela s’ajoutent des inégalités criantes au niveau de la rémunération, tout secteur confondu ».
C’est dans cette optique, que le mouvement Taxaw Temm exige que des mesures soient prises pour le renforcement et le respect des droits des femmes. Taxaw Temm compte s’ériger en bouclier pour notamment « l’élimination de toutes les formes de violence et de discrimination à l’égard des femmes et la mise en œuvre d’un système d’aide juridictionnelle permettant l’accès des tribunaux aux femmes victimes de violence ou aux droits bafoués ».
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