« L’affaire Rose Wardini, comme l'affaire de corruption des juges, comme l'affaire de la mise en place de commission d'enquête, commence à se dégonfler comme un ballon de baudruche. C'est-à-dire l'article 34 de la Constitution, modifié en 2007, nous dit que lorsqu'il y a un empêchement définitif, et là, nous sommes en présence d'un empêchement définitif, le Conseil constitutionnel jouit de la compétence et de la prérogative de refaire la liste », a indiqué le professeur titulaire de droit Ameth Ndiaye.
A en croire M. Ndiaye qui s’est confié à Iradio, dans l’émission Jury du dimanche, « en excluant Rose Wardini, en remettant de l'ordre dans sa liste, au lieu de 20 candidats, nous allons retourner à l'élection avec 19. Mais juridiquement, rien n'empêche que se met en branle, mais tout simplement le processus électoral. Et c'est là où je m'interroge souvent sur la pertinence de l'article 28 de la Constitution qui met en place l'exigence de la nationalité exclusivement sénégalaise ».
Toutefois, le professeur en droit dit accorder le bénéfice du doute à la candidate à la présidentielle. « Si le Conseil a constaté l'empêchement, définitivement, je pense, sincèrement, que si on avait le numéro de Rose Wardini et qu'on l'appelle là pour lui demander si elle est encore candidate, elle vous dirait non. Mais parce qu'elle a parjuré. Elle a raconté des histoires, apparemment, je lui accorde quand même le bénéfice du doute en tant que juriste ».
A en croire M. Ndiaye qui s’est confié à Iradio, dans l’émission Jury du dimanche, « en excluant Rose Wardini, en remettant de l'ordre dans sa liste, au lieu de 20 candidats, nous allons retourner à l'élection avec 19. Mais juridiquement, rien n'empêche que se met en branle, mais tout simplement le processus électoral. Et c'est là où je m'interroge souvent sur la pertinence de l'article 28 de la Constitution qui met en place l'exigence de la nationalité exclusivement sénégalaise ».
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