Selon le journal « Sud Quotidien », les cargaisons de produits pourrissent dans les camions. La Casamance se sent de plus en plus isolée et exige la continuité territoriale par le contournement de la Gambie.
Les voyageurs sénégalais en partance ou en provenance de Casamance via la Gambie ne sont pas au bout de leur peine. Ils vivent le calvaire du fait de l’indisponibilité du ferry. Voilà plus d’une semaine que des voyageurs et autres gros porteurs notamment souffrent l’enfer , ne pouvant relier l’un ou l’autre côté du fleuve pour poursuivre leur route.
Abdou Faty, un passager contacté par le même organe, par ailleurs Secrétaire général national du syndicat des enseignants libres du Sénégal SELS/A en tournée nationale, raconte son passage gambien comme une pénitence mémorable. « Ce qui se passe au bac de Farafégny en Gambie est insoutenable. Ce sont des milliers de passagers, des files de voitures pouvant faire deux kilomètres qui se suivent sans avoir la possibilité de traverser en l’espace d’une semaine. Les Sénégalais, notamment les casamançais sont pris en otage par les coupeurs de route, par la Gambie et même par nos autorités centrales pour n’avoir pas eu de solution durable au calvaire vécu dans ce pays enclavé dans le Sénégal depuis l’indépendance», affirme M. Faty.
Les voyageurs sénégalais en partance ou en provenance de Casamance via la Gambie ne sont pas au bout de leur peine. Ils vivent le calvaire du fait de l’indisponibilité du ferry. Voilà plus d’une semaine que des voyageurs et autres gros porteurs notamment souffrent l’enfer , ne pouvant relier l’un ou l’autre côté du fleuve pour poursuivre leur route.
Abdou Faty, un passager contacté par le même organe, par ailleurs Secrétaire général national du syndicat des enseignants libres du Sénégal SELS/A en tournée nationale, raconte son passage gambien comme une pénitence mémorable. « Ce qui se passe au bac de Farafégny en Gambie est insoutenable. Ce sont des milliers de passagers, des files de voitures pouvant faire deux kilomètres qui se suivent sans avoir la possibilité de traverser en l’espace d’une semaine. Les Sénégalais, notamment les casamançais sont pris en otage par les coupeurs de route, par la Gambie et même par nos autorités centrales pour n’avoir pas eu de solution durable au calvaire vécu dans ce pays enclavé dans le Sénégal depuis l’indépendance», affirme M. Faty.
Autres articles
-
Collectif des féministes : Pour la réforme du Code de la famille et la reconnaissance du féminicide
-
Grand Yoff : deux individus arrêtés pour cambriolages en série et blanchiment de capitaux
-
Kédougou : les fidèles invités à prier pour les enfants et chrétiens privés de Noël
-
Noël 2025 : le Président Bassirou Diomaye Faye adresse un message de paix et de solidarité à la communauté chrétienne
-
Université de Kolda : le directeur du CROUS/Z justifie la fermeture du restaurant




Collectif des féministes : Pour la réforme du Code de la famille et la reconnaissance du féminicide


