Le président biélorusse Alexandre Loukachenko a gracié trente-deux personnes détenues pour «extrémisme», une accusation souvent utilisée contre les opposants politiques, a annoncé mercredi 20 novembre l'agence d'État Belta.
C'est la dernière libération en date dans ce pays qui compte des centaines de prisonniers politiques. Huit femmes et vingt-quatre hommes condamnés pour «extrémisme» ont donc été libérés, a annoncé l'agence Belta en citant la présidence biélorusse. Parmi eux se trouvent dix-sept personnes atteintes de maladie chronique et neuf personnes âgées de plus de 50 ans, selon cette même source, qui n'indique pas leur identité.
C'est la dernière libération en date dans ce pays qui compte des centaines de prisonniers politiques. Huit femmes et vingt-quatre hommes condamnés pour «extrémisme» ont donc été libérés, a annoncé l'agence Belta en citant la présidence biélorusse. Parmi eux se trouvent dix-sept personnes atteintes de maladie chronique et neuf personnes âgées de plus de 50 ans, selon cette même source, qui n'indique pas leur identité.
Autres articles
-
Sommet de l'AES: absence imprévue du président burkinabè Ibrahim Traoré au premier jour
-
Nigeria: libération des 130 derniers écoliers enlevés en novembre dans une école catholique
-
Guinée: à Kindia, les citoyens espèrent le retour des libertés publiques après l'élection présidentielle
-
Mali: ouverture du sommet des chefs d’État de l'AES pour renforcer la coopération régionale
-
Centrafrique: les projets de cryptomonnaie ont surtout favorisé le crime organisé, selon un rapport





Sommet de l'AES: absence imprévue du président burkinabè Ibrahim Traoré au premier jour


