Marc Ravalomanana essaie de recréer l'unité au sein de son parti. Reuters / Mike Hutchings
Les critiques des militants à l’égard de la direction du parti sont de plus en plus nombreuses depuis que Lalao Ravalomanana a été exclue de la course à la présidentielle. Cible principale de ces critiques : Mamy Rakotoarivelo, le chef de la délégation de la mouvance Ravalomanana. Une partie des militants lui reproche d'avoir laissé la femme de l'ancien président se faire éliminer de la course à la présidentielle.
Joint par RFI, Mamy Rakotoarivelo accuse un groupe de semer la zizanie, « le GTT international », une organisation pro-Ravalomanana basée à l'étranger et connue pour ses agressions physiques sur des hommes politiques malgaches. De son côté, Ihanto Randriamandranto, ministre de l'Élevage et membre de la mouvance, reconnaît pourtant que les militants sont aigris.
Selon d'autres sources en interne, l'absence de stratégie pour les élections provoque des disputes entre les leaders de la mouvance. Pour Jean-Eric Rakotoarisoa, professeur de droit constitutionnel, « Marc Ravalomanana a commis une erreur en présentant sa femme à la présidentielle. S'il boycotte maintenant les législatives, sa mouvance ne survivra pas aux élections ».
Source : Rfi.fr
Joint par RFI, Mamy Rakotoarivelo accuse un groupe de semer la zizanie, « le GTT international », une organisation pro-Ravalomanana basée à l'étranger et connue pour ses agressions physiques sur des hommes politiques malgaches. De son côté, Ihanto Randriamandranto, ministre de l'Élevage et membre de la mouvance, reconnaît pourtant que les militants sont aigris.
Selon d'autres sources en interne, l'absence de stratégie pour les élections provoque des disputes entre les leaders de la mouvance. Pour Jean-Eric Rakotoarisoa, professeur de droit constitutionnel, « Marc Ravalomanana a commis une erreur en présentant sa femme à la présidentielle. S'il boycotte maintenant les législatives, sa mouvance ne survivra pas aux élections ».
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