La décision du gouvernement de retirer les enfants de la rue doit être irréversible, malgré les multiples pressions. C’est la requête faite par la société civile lors d'une rencontre à la Place de l’Obélisque.
Selon Mamadou Wane, membre d’un groupe de travail de la société civile, «cette grande plateforme qui s’est réunie exige le respect et l’application effective de la mesure présidentielle qui met fin à la mendicité des enfants».
Ne s’arrêtant pas là, Mamadou Wane explique les raisons de leur manifestation. «Notre appel est citoyen. Nous ne devons pas rester sans actes». Et, de préciser, «nous avons demandé à toutes les personnes qui approuvent cette décision de venir nous rejoindre afin de faire des déclarations publiques d’engagement et d’adhésion».
De l’avis de la présidente de l’association des Oliviers, Hadiya Aidara, la mesure a été prise mais son application connaît quelques défaillances, elle n’est donc pas appliquée de façon rigoureuse.
Comme pour appuyer ses camarades, Anta Mbow, présidente de l’association Empire des Enfants, se désole de cette situation : «ça persiste encore parce qu’à chaque fois qu’il y a des décisions qui sont prises, elles ne sont pas appliquées».
« Un pays ne peut pas avancer si sa jeunesse n’est pas formée, si sa jeunesse n’est pas à l’école, si sa jeunesse est en train de traîner dans les rues», a-t-elle déploré.
Selon Mamadou Wane, membre d’un groupe de travail de la société civile, «cette grande plateforme qui s’est réunie exige le respect et l’application effective de la mesure présidentielle qui met fin à la mendicité des enfants».
Ne s’arrêtant pas là, Mamadou Wane explique les raisons de leur manifestation. «Notre appel est citoyen. Nous ne devons pas rester sans actes». Et, de préciser, «nous avons demandé à toutes les personnes qui approuvent cette décision de venir nous rejoindre afin de faire des déclarations publiques d’engagement et d’adhésion».
De l’avis de la présidente de l’association des Oliviers, Hadiya Aidara, la mesure a été prise mais son application connaît quelques défaillances, elle n’est donc pas appliquée de façon rigoureuse.
Comme pour appuyer ses camarades, Anta Mbow, présidente de l’association Empire des Enfants, se désole de cette situation : «ça persiste encore parce qu’à chaque fois qu’il y a des décisions qui sont prises, elles ne sont pas appliquées».
« Un pays ne peut pas avancer si sa jeunesse n’est pas formée, si sa jeunesse n’est pas à l’école, si sa jeunesse est en train de traîner dans les rues», a-t-elle déploré.
Autres articles
-
Nouadhibou : 224 migrants, dont 75 Sénégalais, interceptés par les garde-côtes mauritaniens
-
Coopération climatique : Sénégal et Norvège signent un accord stratégique à Belém
-
Fièvre de la Vallée du Rift : Kolda entre en épidémie après la détection d’un premier cas humain à Vélingara
-
Affaire Fulbert Sambou et Didier Badji : le préfet de Dakar autorise la marche pacifique d’Amnesty International
-
Orpaillage clandestin : 17 personnes interpellées lors d’une vaste opération du GARSI 2 à l’Est





Nouadhibou : 224 migrants, dont 75 Sénégalais, interceptés par les garde-côtes mauritaniens


