Quatre élèves du collège de cette localité ont été blessés par balle, lors d’incidents qui les ont opposés à des policiers venus protéger le principal de l’établissement et son personnel. ‘’Les éléments ayant mené cette opération, ont été relevés et ramenés à la base par mesures conservatoires en attendant de situer toutes les responsabilités et de faire la lumière sur ces incidents’’, indique la police nationale dont la mission première est d’assurer la sécurité sur toute l’étendue du territoire, ne manque pas de déplorer ces regrettables événements ayant occasionné des blessures graves d’élèves’’, indique le communiqué de la DGPN.
Expliquant les circonstances des incidents, la police rapporte que ce jour-là, les élèves ‘’ ont eu un mouvement de grève ayant pour motif un certain nombre de doléances portées à l’attention du principal de l’établissement lequel avisera (…) le sous-préfet’’. Par réquisition verbale, le sous-préfet ‘’demandera à deux des fonctionnaires de police dédiés à la mission de sa propre sécurité de se déployer sur les lieux à l’effet de porter assistance aux membres du corps professoral séquestrés par les élèves dans les locaux du cloc administratif’’. Une fois sur place, les deux éléments du GMI vont être pris à parti par la foule d’élèves usant de jets de projectiles, d’ailleurs l’un d’eux s’en tirera avec des points de suture à la tête’’.
La police souligne que ‘’c’est dans ce contexte grave et périlleux, nécessitant une réaction rapide de leur part qu’ils ont fait usage de leurs armes en tirant des coups de semonce et parviendront à libérer et escorter les otages vers leurs résidences respectives’’. ‘’Au regard de la gravité de ces événements, le commandement du Groupe opérationnel de Ziguinchor, instruit par les autorités de la police, a procédé au renforcement du dispositif de sécurité à Djirédji’’, mentionne le texte. Le même jour, le ministre de la Justice, Sidiki Ka, avait ordonné l’ouverture d’une enquête pour situer les responsabilités dans cette affaire.
Expliquant les circonstances des incidents, la police rapporte que ce jour-là, les élèves ‘’ ont eu un mouvement de grève ayant pour motif un certain nombre de doléances portées à l’attention du principal de l’établissement lequel avisera (…) le sous-préfet’’. Par réquisition verbale, le sous-préfet ‘’demandera à deux des fonctionnaires de police dédiés à la mission de sa propre sécurité de se déployer sur les lieux à l’effet de porter assistance aux membres du corps professoral séquestrés par les élèves dans les locaux du cloc administratif’’. Une fois sur place, les deux éléments du GMI vont être pris à parti par la foule d’élèves usant de jets de projectiles, d’ailleurs l’un d’eux s’en tirera avec des points de suture à la tête’’.
La police souligne que ‘’c’est dans ce contexte grave et périlleux, nécessitant une réaction rapide de leur part qu’ils ont fait usage de leurs armes en tirant des coups de semonce et parviendront à libérer et escorter les otages vers leurs résidences respectives’’. ‘’Au regard de la gravité de ces événements, le commandement du Groupe opérationnel de Ziguinchor, instruit par les autorités de la police, a procédé au renforcement du dispositif de sécurité à Djirédji’’, mentionne le texte. Le même jour, le ministre de la Justice, Sidiki Ka, avait ordonné l’ouverture d’une enquête pour situer les responsabilités dans cette affaire.
Autres articles
-
Collectif des féministes : Pour la réforme du Code de la famille et la reconnaissance du féminicide
-
Grand Yoff : deux individus arrêtés pour cambriolages en série et blanchiment de capitaux
-
Kédougou : les fidèles invités à prier pour les enfants et chrétiens privés de Noël
-
Noël 2025 : le Président Bassirou Diomaye Faye adresse un message de paix et de solidarité à la communauté chrétienne
-
Université de Kolda : le directeur du CROUS/Z justifie la fermeture du restaurant





Collectif des féministes : Pour la réforme du Code de la famille et la reconnaissance du féminicide


