Les membres du Groupement Mobile d’Intervention (GMI) sont très fâchés contre leur hiérarchie. Ces agents très présents dans la zone secouée par la crise casamançaise exigent la revalorisation de leurs indemnités journalières par opération. Estimant exercer les mêmes travaux que les gendarmes, ils revendiquent ainsi les mêmes traitements que leurs frères d’armes. Evaluées à 350 FCFA, les éléments du GMI réclament la hausse de leurs indemnités à 1000 FCFA, à l’instar des éléments de la gendarmerie. Au micro de la RFM, ils ont également déploré le manque de moyens logistiques dans l’opération des patrouilles nocturnes.
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