
« Nous nous indignons alors de voir le Comité Régional des Semences et des Plants d’Afrique de l’Ouest (CEDEAO-CILSS-UEMOA) se réunir à Dakar, du 9 au 11 juillet 2018, avec des acteurs semenciers de dix-sept pays (16 pays d’Afrique de l’Ouest, plus le Tchad) sans les Organisations Paysannes (OP) et la société civile souveraine, pour évaluer les progrès réalisés dans la mise en œuvre du règlement semencier régional harmonisé, » note-t-on dans le communiqué du Comité Ouest Africain des Semences Paysannes (COASP) parvenu à PressAfrik.
Attestant que « tout ce qui est fait pour vous et sans vous se fait contre vous », les concernés ont déplorés cette consultation apprise par le biais de la presse en ligne. Par ailleurs, ils jugent cet acte de « manque de transparence et d’inclusivité » qui leur laissent fortement à croire que c’est un « complot » qui est en train d’être monté contre les paysans et la souveraineté alimentaire.
Forcés à utiliser des semences non diversifiée, par l’arsenal juridique, les agriculteurs exigent que les semences paysannes soient renforcées, car pour eux c’est qui est marche déjà.
Pensant que ces semences nouvelles nécessitent l’utilisation massive d’engrais et, de pesticides chimiques de synthèse, en plus des énergies fossiles associées pour les opérations culturales mécanisées dans de grandes étendues de monoculture, les agriculteurs souhaitent la mise en œuvre des droits des agriculteurs, l’élargissement de l’assurance de qualité en soutenant la systématisation des modèles paysans, et le Financement et l’amélioration de l’investissement en faveur du développent des systèmes semenciers paysans.
Attestant que « tout ce qui est fait pour vous et sans vous se fait contre vous », les concernés ont déplorés cette consultation apprise par le biais de la presse en ligne. Par ailleurs, ils jugent cet acte de « manque de transparence et d’inclusivité » qui leur laissent fortement à croire que c’est un « complot » qui est en train d’être monté contre les paysans et la souveraineté alimentaire.
Forcés à utiliser des semences non diversifiée, par l’arsenal juridique, les agriculteurs exigent que les semences paysannes soient renforcées, car pour eux c’est qui est marche déjà.
Pensant que ces semences nouvelles nécessitent l’utilisation massive d’engrais et, de pesticides chimiques de synthèse, en plus des énergies fossiles associées pour les opérations culturales mécanisées dans de grandes étendues de monoculture, les agriculteurs souhaitent la mise en œuvre des droits des agriculteurs, l’élargissement de l’assurance de qualité en soutenant la systématisation des modèles paysans, et le Financement et l’amélioration de l’investissement en faveur du développent des systèmes semenciers paysans.
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