Fédération IDC-Frocad-CJ3M est le nom officiel de cette coalition de l’opposition congolaise qui tente de se réorganiser après avoir perdu la présidentielle du 20 mars.
Mais certains caciques, tels Pascal Tsaty Mabiala, Guy Brice Parfait Kolélas ou encore Mathias Dzon, n’ont pas signé l’acte de naissance de cette nouvelle plateforme, présidée par Claudine Munari, candidate malheureuse au dernier scrutin présidentiel qui affiche l’intention d’apporter un nouveau souffle.
« Je pense que nous devons faire un travail utile pour notre pays, explique-t-elle. L’objet de cette fédération, c’est de contribuer à remettre le pays sur les rails. Il s’enlise un peu, c’est le moins qu’on puisse dire. On ne sait pas qui fait quoi, qui dit quoi. Le monde est en train de se construire et nous, on est en train de régresser. Ce n’est pas normal. Et quand nous pensons à nous-mêmes, c’est bien. Mais quand nous pensons à nos enfants, ça ne vous fait pas un pincement au cœur ? Qu’est-ce que nous allons offrir à nos enfants ? Des tortures dans les geôles ? Le chômage ? »
Claudine Munari, 62 ans, n’est pas une inconnue de la scène politique congolaise. Directrice de cabinet du président Pascal Lissouba dans les années 1990, elle a été ministre du Commerce du président Denis Sassou-Nguesso jusqu’en 2015.
Mais certains caciques, tels Pascal Tsaty Mabiala, Guy Brice Parfait Kolélas ou encore Mathias Dzon, n’ont pas signé l’acte de naissance de cette nouvelle plateforme, présidée par Claudine Munari, candidate malheureuse au dernier scrutin présidentiel qui affiche l’intention d’apporter un nouveau souffle.
« Je pense que nous devons faire un travail utile pour notre pays, explique-t-elle. L’objet de cette fédération, c’est de contribuer à remettre le pays sur les rails. Il s’enlise un peu, c’est le moins qu’on puisse dire. On ne sait pas qui fait quoi, qui dit quoi. Le monde est en train de se construire et nous, on est en train de régresser. Ce n’est pas normal. Et quand nous pensons à nous-mêmes, c’est bien. Mais quand nous pensons à nos enfants, ça ne vous fait pas un pincement au cœur ? Qu’est-ce que nous allons offrir à nos enfants ? Des tortures dans les geôles ? Le chômage ? »
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