Le gouvernement israélien devrait adopter un décret de soutien juridique aux militaires impliqués dans l’offensive.(Photo : Reuters)
Toute une série de décisions ont d’ores et déjà été adoptées pour éviter des poursuites judiciaires contre des officiers qui ont participé à l’opération « Plomb durci ».
D’abord, en ce qui concerne les dirigeants de Tsahal, les généraux, ils ont été instamment priés de ne pas se rendre à l’étranger sans coordination préalable.
Pour ce qui est des officiers subalternes, la censure militaire va tout simplement interdire leur nom à la publication. Et lors du conseil des ministres ce dimanche, le gouvernement israélien devrait adopter un décret de soutien juridique aux militaires impliqués dans l’offensive israélienne.
Assigné à comparaître
En attendant, une commission spéciale composée de juristes et dirigée par le ministre de la Justice lui-même a été mise sur pied pour tenter d’éviter que des Israéliens soient déférés devant des instances judiciaires internationales pour crimes de guerre, et aussi à l’inverse pour tenter de démontrer que c’est en fait le Hamas qui s’en est rendu coupable.
Dans le passé, le Premier ministre Ariel Sharon a soigneusement évité de se rendre en Belgique où il était sous le coup d’une plainte pour sa part de responsabilité dans les massacres de Sabra et Chatila.
L’ancien chef d’état-major, Moshe Yaalon, avait été assigné à comparaître devant un tribunal américain pour avoir dirigé l’armée au moment de la seconde Intifada.
SOURCE
D’abord, en ce qui concerne les dirigeants de Tsahal, les généraux, ils ont été instamment priés de ne pas se rendre à l’étranger sans coordination préalable.
Pour ce qui est des officiers subalternes, la censure militaire va tout simplement interdire leur nom à la publication. Et lors du conseil des ministres ce dimanche, le gouvernement israélien devrait adopter un décret de soutien juridique aux militaires impliqués dans l’offensive israélienne.
Assigné à comparaître
En attendant, une commission spéciale composée de juristes et dirigée par le ministre de la Justice lui-même a été mise sur pied pour tenter d’éviter que des Israéliens soient déférés devant des instances judiciaires internationales pour crimes de guerre, et aussi à l’inverse pour tenter de démontrer que c’est en fait le Hamas qui s’en est rendu coupable.
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