Le Centre des hautes études de défense et de sécurité (cheds), en collaboration avec la fondation Konrad Adenauer, a organisé une rencontre qui a regroupé plusieurs professeurs en vue d'exposer sur la pratique de la radicalisation djihadiste au Sénégal.
Au tour du thème "les composantes sociales dans la prévention et la lutte contre blanc radicalisation djihadiste", ces éminents professeurs ont fait savoir qu'une étude montre qu'il y a une infime partie de la population acquise à la cause du djihadisme.
Le professeur Fatou Sow Sarr est revenue sur l'état des lieux de ce phénomène, facture d'instabilité dans la sous-région. Les enquêtes qui on été réalisées montrent que "près de 97% de la population ne sont pas prêtes à s'engager dans cette voie. Pour le moment, le comportement des Sénégalais est rassurant, mais les germes existent", précise-t-elle.
Selon elle, l'histoire culturelle du Sénégal et tant d'autres raisons, ont préservé le pays qui constitue jusqu'à présent un espace inaccessible. "Nous avons une unité dans la perception religieuse avec un modèle confrérique qui a contribué a la stabilisation du pays, explique Madame Sarr.
Fatou Sow Sarr a appelé a toujours "chercher le cœur des croyants" car les finalités sont toutes autres. "Quand nous aurons cerné les contours du phénomène, nous aurons plus de chance de les contenir", souligne-t-elle.
Au tour du thème "les composantes sociales dans la prévention et la lutte contre blanc radicalisation djihadiste", ces éminents professeurs ont fait savoir qu'une étude montre qu'il y a une infime partie de la population acquise à la cause du djihadisme.
Le professeur Fatou Sow Sarr est revenue sur l'état des lieux de ce phénomène, facture d'instabilité dans la sous-région. Les enquêtes qui on été réalisées montrent que "près de 97% de la population ne sont pas prêtes à s'engager dans cette voie. Pour le moment, le comportement des Sénégalais est rassurant, mais les germes existent", précise-t-elle.
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