"La Constitution en vigueur ne règle que les problèmes liés à sa révision, dès lors qu’il s’agit de procéder à l’établissement d’une nouvelle constitution, la question sort du champ juridique et pose essentiellement un problème politique", a soutenu M. Wodié.
Pour lui, cette nouvelle Constitution "va se substituer à celle en vigueur", expliquant que "le point de savoir s’il faut procéder" ou non "à la révision de la Constitution ou adopter une nouvelle pourrait faire le sujet d’un référendum".
Lors de son discours de nouvel an, M.Ouattara a annoncé un référendum "pour extirper, les articles conflictogènes" de la Constitution actuelle en vue de l'"adapter à l’évolution de (la) société et assurer une plus grande cohérence au niveau (des) Institutions" du pays.
Certains articles de la Constitution, notamment l'article 35 fixant les conditions d’éligibilité à la présidence la République a été source de polémique pendant plusieurs années en Côte d'Ivoire.
Source: Alerte Info
-
Nigeria: les hommages se succèdent après la mort de Muhammadu Buhari
-
RDC: plus de 300000 fonctionnaires concernés par le nouveau plan de retraite des agents publics
-
Afrique du Sud: le ministre de la Police «mis en congé» après un scandale
-
Burkina Faso: les associations islamiques se mobilisent contre les discours haineux sur les réseaux sociaux
-
Gabon: bataille de succession au sein du Parti démocratique gabonais