En Centrafrique, l’affaire du rapport de la Cour des comptes sur la gestion de l’Assemblée nationale continue de faire du bruit. L’ancien président de la chambre, Karim Meckassoua, était mardi 20 août l’invité de RFI. Il déclare se considérer blanchi par ce rapport où il n’y a nulle trace de son nom. « Les voleurs ont crié aux voleurs », déclare-t-il. Karim Meckassoua affirme aussi que la délivrance de permis miniers était le principal sujet de discorde avec le président de la République. Une interprétation du rapport rejetée par le 2e vice-président de l’Assemblée nationale centrafricaine, Mathurin Dimbelet-Nakoé.
« Le rapport n’a pas besoin de citer Meckassoua nommément. Le rapport couvre la période pendant laquelle Meckassoua était président de l’Assemblée nationale. Je l’ai entendu également parler des mines. Comment peut-il dire qu’il n’est pas au courant ? Tout les permis qui posent problème aujourd’hui ont été autorisés au temps de Meckassoua. »
« Le rapport n’a pas besoin de citer Meckassoua nommément. Le rapport couvre la période pendant laquelle Meckassoua était président de l’Assemblée nationale. Je l’ai entendu également parler des mines. Comment peut-il dire qu’il n’est pas au courant ? Tout les permis qui posent problème aujourd’hui ont été autorisés au temps de Meckassoua. »
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