Le Jef Jel assimile les projets du gouvernement, l’ANOCI, la GOANA, les TGP à des «éléphants blancs». Dans un communiqué parvenu à la rédaction de pressafrik.com, le bureau politique du Jef Jel «constate avec amertume la procession interminable des Eléphants blancs de Wade».
Selon Talla Sylla et ses camarades, «entre report, retard, échec ou omission, les projets du chef qui a fini de se substituer à l’Etat prouvent la cécité et l’incurie d’un piètre amateur de la chose publique». Parlant du monument de la renaissance africaine, ils estiment qu’il est «offensant et sans aucune originalité artistique insultant la pudeur et les valeurs d’un peuple de croyants, agressant finalement le naturel d’un paysage, jadis, d’une majestueuse beauté». Et cela ne saurait être une attraction pour des Africains en quête d’une juste reconnaissance peut on lire dans le communiqué de ce samedi 25 juillet. En effet, l’organisation du FESMAN ne fait plus rêver selon le Jef Jel.
Par ailleurs, le bureau politique du Jef Jel s’insurge de ce qu’il appelle «la boulimie foncière des pontes de l’alternance qui s’approprient en catimini et sans retenue, les terres de braves exploitants du monde rural». Il manifeste également son soutien aux pharmaciens affectés par l’insécurité se manifestant par les attaques récurrentes des officines.
Selon Talla Sylla et ses camarades, «entre report, retard, échec ou omission, les projets du chef qui a fini de se substituer à l’Etat prouvent la cécité et l’incurie d’un piètre amateur de la chose publique». Parlant du monument de la renaissance africaine, ils estiment qu’il est «offensant et sans aucune originalité artistique insultant la pudeur et les valeurs d’un peuple de croyants, agressant finalement le naturel d’un paysage, jadis, d’une majestueuse beauté». Et cela ne saurait être une attraction pour des Africains en quête d’une juste reconnaissance peut on lire dans le communiqué de ce samedi 25 juillet. En effet, l’organisation du FESMAN ne fait plus rêver selon le Jef Jel.
Par ailleurs, le bureau politique du Jef Jel s’insurge de ce qu’il appelle «la boulimie foncière des pontes de l’alternance qui s’approprient en catimini et sans retenue, les terres de braves exploitants du monde rural». Il manifeste également son soutien aux pharmaciens affectés par l’insécurité se manifestant par les attaques récurrentes des officines.
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