Le bras de fer entre le Gouvernement et le Syndicats d’enseignants se poursuit au détriment des élèves de l’école publique qui ne savent plus à quel saint se vouer pour terminer leur programme. En effet après plus de deux mois de perturbation dans le secteur à cause du non-respect des engagements du Gouvernement vis-à-vis des syndicats, le statu-quo demeure.
Depuis hier, les syndicats d’enseignants ont déserté les salles de classe pour contraindre l’Etat du Sénégal à respecter les accords qu’il avait signés. Ainsi, à l’occasion d’une conférence de presse conjointe organisée par le Grand Cadre et le Cusems, ils ont déclaré : «Si le Gouvernement continue de s’emmurer dans ce silence coupable et le refus obstiné de matérialiser ses engagements, nous userons de toutes les voix légales pour le contraindre à poser des actes concrets. Nous le tenons d’ores et déjà pour responsable de toutes conséquences qui pourraient résulter de cette situation de blocage née de son mépris paradoxal pour un secteur aussi stratégique que celui de l’éducation».
Par ailleurs, les organisations syndicales ont fait savoir que la tentative initiée par le Haut Conseil du Dialogue Social de renouer le fil du dialogue s’est soldée par « un dialogue de sourds ». Car, les interlocuteurs ne se sont pas du tout entendus.
Depuis hier, les syndicats d’enseignants ont déserté les salles de classe pour contraindre l’Etat du Sénégal à respecter les accords qu’il avait signés. Ainsi, à l’occasion d’une conférence de presse conjointe organisée par le Grand Cadre et le Cusems, ils ont déclaré : «Si le Gouvernement continue de s’emmurer dans ce silence coupable et le refus obstiné de matérialiser ses engagements, nous userons de toutes les voix légales pour le contraindre à poser des actes concrets. Nous le tenons d’ores et déjà pour responsable de toutes conséquences qui pourraient résulter de cette situation de blocage née de son mépris paradoxal pour un secteur aussi stratégique que celui de l’éducation».
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