Le bureau du Mouvement des Elèves et Etudiants Libéraux (MEEL) « dénonce vivement la situation chaotique que traverse l’école sénégalaise qui connait aujourd’hui des perturbations à tous les niveaux. Il demande au régime actuel qui s’était lancé dans la tromperie et les contre-vérités durant la campagne électorale en promettant monts et merveilles aux acteurs de l’éducation, de respecter ses engagements et de satisfaire les revendications des enseignants et de l’école en général ».
Ces jeunes libéraux considèrent les mesures prises dans les universités comme une violation du droit à l’éducation et une remise en cause des conditions de réussite des étudiants. Il s’agit, « de la limite d’âge imposée aux nouveaux bacheliers pour être orientés, de l’accès limité aux masters, de la privatisation des masters, de la suppression des aides et de la restriction des conditions d’obtention des bourses ».
Pour la dernière retrouvaille du gouvernement consistant à redéployer des bacheliers au niveau des écoles privées, le MEEL, considère cela comme « la preuve manifeste de l’incompétence du gouvernement qui s’adonne au bricolage faute de pouvoir prendre en charge les problèmes des bacheliers qui ont toujours nourri le rêve d’intégrer l’université et qui doivent l’intégrer ».
« Le MEEL exige par ailleurs la finition des constructions dans les universités dont le budget avait été dégagé depuis 2012, mais nous constatons un statu quo incompréhensible sur les travaux. En outre, Le MEEL lance un appel très solennel aux acteurs syndicaux du mouvement estudiantin en les demandant de rester vigilants pour préserver les acquis nés de longues années de lutte consenties par leurs aînés, parfois, au prix de leurs vies ».
Ces jeunes libéraux considèrent les mesures prises dans les universités comme une violation du droit à l’éducation et une remise en cause des conditions de réussite des étudiants. Il s’agit, « de la limite d’âge imposée aux nouveaux bacheliers pour être orientés, de l’accès limité aux masters, de la privatisation des masters, de la suppression des aides et de la restriction des conditions d’obtention des bourses ».
Pour la dernière retrouvaille du gouvernement consistant à redéployer des bacheliers au niveau des écoles privées, le MEEL, considère cela comme « la preuve manifeste de l’incompétence du gouvernement qui s’adonne au bricolage faute de pouvoir prendre en charge les problèmes des bacheliers qui ont toujours nourri le rêve d’intégrer l’université et qui doivent l’intégrer ».
« Le MEEL exige par ailleurs la finition des constructions dans les universités dont le budget avait été dégagé depuis 2012, mais nous constatons un statu quo incompréhensible sur les travaux. En outre, Le MEEL lance un appel très solennel aux acteurs syndicaux du mouvement estudiantin en les demandant de rester vigilants pour préserver les acquis nés de longues années de lutte consenties par leurs aînés, parfois, au prix de leurs vies ».
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