Un masque blanc sur fond noir, issu du film américain V pour Vendetta, puis une inscription sur la page d’accueil : « Vous avez interdit la caricature de la Une de Charlie Hebdo ?… Mauvais choix. » C’est ce message que l’on pouvait lire dimanche sur le site web de l’Agence de l’informatique de l’Etat sénégalais (ADIE).
Le piratage a duré quelques heures, puis l’agence a réussi à déjouer l’attaque revendiquée par les Anonymous. Ce groupe de hackers (ou pirates informatiques) s’en est expliqué dans un autre message : « Attaquer la liberté d’expression, c’est attaquer Anonymous. Nous ne le permettons pas. Nous vous traquons. »
Le Sénégal n’est pas le seul pays touché par ce groupe. Selon l’ADIE, 20 000 sites web ont été touchés ces quatre derniers jours à travers le monde. Le 7 janvier, le jour de l’attentat contre le journal français, les Anonymous francophones avaient lancé un hashtag sur le réseau social Twitter, « OPCharlieHebdo ». Ils menaçaient alors tous les « ennemis de la liberté d’expression ».
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