Après la position claire de l’Alliance pour la République (APR), qui entend présenter son candidat à la présidentielle de 2012, le PS va, peut-être, suivre la même voie si on se fie à la volonté du Secrétaire général de Convergence socialiste qui est repris par notre confrère du quotidien "Le Populaire". «Moi j’ai toujours pensé qu’il fallait une candidature plurielle», a avancé Noël Malick Seck qui constate que les événements commencent à lui donner raison. «Je suis persuadé que la candidature unique est une utopie; c’est irréaliste. C’est un leurre», croit M. Seck qui exhorte d’arrêter de se voiler la face. «Nous sommes loin de cette unité», déclare, pessimiste, Noël Malick Seck selon qui le parti socialiste a obligation d’avoir son candidat.
«Le PS, compte tenu de son histoire, ne peut pas, aujourd’hui, ne pas présenter de candidat à l’élection présidentielle, développe le successeur de Barthélémy Dias qui estime que «si le PS ne présentait pas un candidat, ce serait incohérent». Il a expliqué que le Ps avait des positions idéologiques différentes de celles de ses alliés. C’est dans ce sens qu’il écarte une codirection. «Comment voulez-vous qu’un socialiste, un Maoïsme, un Léniniste puissent diriger ensemble un Etat ? C’est totalement contradictoire», résume-t-il.
Le jeune socialiste ne s’est pas arrêté en si bon chemin dans son développement. «Aujourd’hui, je vois mal un socialiste voter pour un candidat de l’Alliance des forces de progrès et vis versa».
«Le PS, compte tenu de son histoire, ne peut pas, aujourd’hui, ne pas présenter de candidat à l’élection présidentielle, développe le successeur de Barthélémy Dias qui estime que «si le PS ne présentait pas un candidat, ce serait incohérent». Il a expliqué que le Ps avait des positions idéologiques différentes de celles de ses alliés. C’est dans ce sens qu’il écarte une codirection. «Comment voulez-vous qu’un socialiste, un Maoïsme, un Léniniste puissent diriger ensemble un Etat ? C’est totalement contradictoire», résume-t-il.
Le jeune socialiste ne s’est pas arrêté en si bon chemin dans son développement. «Aujourd’hui, je vois mal un socialiste voter pour un candidat de l’Alliance des forces de progrès et vis versa».
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