À l'approche des manifestations prévues vendredi 14 octobre dans l'après-midi par des partisans de l'opposition à Dakar, la capitale sénégalaise, le directeur régional pour l’Afrique de l’Ouest et l’Afrique centrale à Amnesty International, a déclaré que: «Depuis cinq ans, les autorités sénégalaises répriment les manifestations pacifiques organisées par des groupes de l'opposition et des organisations de défense des droits humains, notamment en interdisant les manifestations, en arrêtant des manifestants pacifiques et en ayant recours à une force excessive en utilisant des balles réelles, des matraques et du gaz lacrymogène».
Alioune Tine de poursuivre: «Nous demandons aux autorités de faire en sorte que les manifestations prévues vendredi 14 octobre après-midi se déroulent pacifiquement, et de ne pas avoir recours à une force excessive».
«Le fait que les autorités n’aient pas interdit cette manifestation est un premier pas en avant, mais ce n'est pas suffisant. Les forces de sécurité doivent faire preuve de retenue et permettre à la population sénégalaise d'exercer son droit à la liberté de réunion et d'expression pacifique», a-t-il par ailleurs souligné.
Alioune Tine de poursuivre: «Nous demandons aux autorités de faire en sorte que les manifestations prévues vendredi 14 octobre après-midi se déroulent pacifiquement, et de ne pas avoir recours à une force excessive».
«Le fait que les autorités n’aient pas interdit cette manifestation est un premier pas en avant, mais ce n'est pas suffisant. Les forces de sécurité doivent faire preuve de retenue et permettre à la population sénégalaise d'exercer son droit à la liberté de réunion et d'expression pacifique», a-t-il par ailleurs souligné.
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