Atiana Serge, journaliste burkinabé, a fait part lundi de la situation dans lequel travaillent les journalistes au Burkina. Il soutient que ces derniers travaillent dans des conditions très difficiles. Car dit-il, ‘’la dégradation de la situation sécuritaire et politique, complique l’accès à l’information.
« Actuellement au Burkina Faso, les journalistes travaillent dans des conditions très difficiles. Il y a cette dégradation de la situation sécuritaire qui est là depuis le 4 avril 2015. Date du premier acte terroriste qui a eu lieu sur le sol burkinabé. Et depuis le 30 septembre 2022 nous avons assisté à un deuxième coup d’Etat en l’espace d’un an. Si vous ajoutez ces deux éléments, la situation politique, la situation sécuritaire, évidemment cela devient compliqué en matière d’accès à l’information, de sécurité, et des journalistes des médias », a déclaré Atiana Serge.
Le journaliste a aussi souligné le cas des activistes présent sur les réseaux sociaux et qui s’attaquent aux journalistes. « J’ai parlé d’épée de Damoclès, là, je fais allusion au fait qu'il y a des activistes qui sont sur les réseaux sociaux et qui s’attaquent aux journalistes. Ils pensent savoir comment les journalistes doivent traiter l’information, qui divisent ou qui présentent le burkinabé en patriote ou en apatride. Qui font des audios pour menacer de mort les journalistes, ou qu’il faut s’attaquer à tel ou tel médias », dit-il.
« Actuellement au Burkina Faso, les journalistes travaillent dans des conditions très difficiles. Il y a cette dégradation de la situation sécuritaire qui est là depuis le 4 avril 2015. Date du premier acte terroriste qui a eu lieu sur le sol burkinabé. Et depuis le 30 septembre 2022 nous avons assisté à un deuxième coup d’Etat en l’espace d’un an. Si vous ajoutez ces deux éléments, la situation politique, la situation sécuritaire, évidemment cela devient compliqué en matière d’accès à l’information, de sécurité, et des journalistes des médias », a déclaré Atiana Serge.
Le journaliste a aussi souligné le cas des activistes présent sur les réseaux sociaux et qui s’attaquent aux journalistes. « J’ai parlé d’épée de Damoclès, là, je fais allusion au fait qu'il y a des activistes qui sont sur les réseaux sociaux et qui s’attaquent aux journalistes. Ils pensent savoir comment les journalistes doivent traiter l’information, qui divisent ou qui présentent le burkinabé en patriote ou en apatride. Qui font des audios pour menacer de mort les journalistes, ou qu’il faut s’attaquer à tel ou tel médias », dit-il.
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