L’enquête sur la mort de Pape Coulibaly, alias Diaz, survenue dans la nuit du mardi 4 au mercredi 5 février 2025, connaît un rebondissement majeur. L.G, un agent du Groupement Mobile d’Intervention (GMI), s’est rendu de lui-même à la police de Yeumbeul-Nord, où il a été placé en garde à vue. Son complice présumé, K. Thiam identifié comme un "indic", est quant à lui toujours en cavale, activement recherché par les forces de l’ordre.
Selon les premiers éléments de l’enquête diffusé par L'Observateur, Pape Coulibaly a été enlevé dans la nuit du 4 février par K. Thiam et L.G, alors qu’il se trouvait avec sa petite amie. Il aurait été embarqué de force à bord d’un véhicule, conduit par L.G, avant d’être conduit dans un lieu isolé où il a subi une violente bastonnade. Quelques heures plus tard, il est réapparu gravement blessé au domicile de sa compagne, où il a succombé à ses blessures.
D’après la famille de la victime, " le sieur K. Thiam avait plusieurs fois menacé Pape Coulibaly à cause d’un litige financier dont les détails restent flous. Cette dette pourrait être à l’origine du guet-apens mortel."
L.G, aujourd’hui en garde à vue, n’en est pas à sa première affaire de violence. Ancien chef de la Brigade de recherches d’un commissariat, il avait été impliqué en 2017 dans une bastonnade mortelle ayant conduit au décès d’un transitaire du nom d’Élimane Touré, retrouvé mort en garde à vue au commissariat du Port. À la suite de cette affaire, L.G avait été muté à Matam, puis affecté à la Division des investigations criminelles (DIC) avant de rejoindre le GMI, informe le journal.
En février 2025, alors qu'il était en congé, il est retourné en banlieue et aurait retardé sa reprise de service. Avec K. Thiam, ils auraient mené des opérations officieuses, sans l’aval de la hiérarchie. Depuis la mort de Pape Coulibaly, K. Thiam est en fuite. Craignant à la fois les forces de l’ordre et d’éventuelles représailles, il aurait quitté la région. Une traque intense a été lancée pour le localiser, impliquant plusieurs commissariats et brigades de gendarmerie à travers le pays.
Hier, la police de Yeumbeul-Nord a retenu l’épouse de K. Thiam ainsi que l’ami qui l’accompagnait lors des faits, pour les besoins de l’enquête. Aucune interpellation officielle n’a encore été annoncée.
Selon les premiers éléments de l’enquête diffusé par L'Observateur, Pape Coulibaly a été enlevé dans la nuit du 4 février par K. Thiam et L.G, alors qu’il se trouvait avec sa petite amie. Il aurait été embarqué de force à bord d’un véhicule, conduit par L.G, avant d’être conduit dans un lieu isolé où il a subi une violente bastonnade. Quelques heures plus tard, il est réapparu gravement blessé au domicile de sa compagne, où il a succombé à ses blessures.
D’après la famille de la victime, " le sieur K. Thiam avait plusieurs fois menacé Pape Coulibaly à cause d’un litige financier dont les détails restent flous. Cette dette pourrait être à l’origine du guet-apens mortel."
L.G, aujourd’hui en garde à vue, n’en est pas à sa première affaire de violence. Ancien chef de la Brigade de recherches d’un commissariat, il avait été impliqué en 2017 dans une bastonnade mortelle ayant conduit au décès d’un transitaire du nom d’Élimane Touré, retrouvé mort en garde à vue au commissariat du Port. À la suite de cette affaire, L.G avait été muté à Matam, puis affecté à la Division des investigations criminelles (DIC) avant de rejoindre le GMI, informe le journal.
En février 2025, alors qu'il était en congé, il est retourné en banlieue et aurait retardé sa reprise de service. Avec K. Thiam, ils auraient mené des opérations officieuses, sans l’aval de la hiérarchie. Depuis la mort de Pape Coulibaly, K. Thiam est en fuite. Craignant à la fois les forces de l’ordre et d’éventuelles représailles, il aurait quitté la région. Une traque intense a été lancée pour le localiser, impliquant plusieurs commissariats et brigades de gendarmerie à travers le pays.
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