La Ligue Sénégalaise des Droits Humains (LSDH) est dans tous ses états. Me Assane Dioma Ndiaye et Cie dénoncent « une promiscuité et une tension jamais égalées en raison des causes structurelles connues et corrélatives d’une politique de placement systématique sous mandat de dépôt des personnes en maille à partir avec la justice de la part du ministère public faisant de la détention le principe au Sénégal et la liberté provisoire l’exception.
Pire, pour la LSDH : « le maintien en prison de personnes acquittées lors de session de la Cour d’assises, par le simple fait de l’appel suspensif du Parquet général ». Les droits de l’hommiste de citer pour le déplorer, le cas du détenu Amadou Tidiane Diallo qui s’est coupé les parties intimes. Ce, d’abord pour protester contre les conditions inhumaines de détention et ensuite contre l’attitude du Parquet général de Kaolack qui a fait appel à la décision de la Cour.
Pire, pour la LSDH : « le maintien en prison de personnes acquittées lors de session de la Cour d’assises, par le simple fait de l’appel suspensif du Parquet général ». Les droits de l’hommiste de citer pour le déplorer, le cas du détenu Amadou Tidiane Diallo qui s’est coupé les parties intimes. Ce, d’abord pour protester contre les conditions inhumaines de détention et ensuite contre l’attitude du Parquet général de Kaolack qui a fait appel à la décision de la Cour.
Autres articles
-
CFEE : les Inspecteurs de l’éducation et de la formation invités à développer des stratégies pour booster les résultats en 2024
-
Anta Babacar invite les femmes à se lancer dans la politique et ne pas se contenter des nominations
-
Chocs extérieurs, contexte difficile : le FMI salue la résilience de l’économie sénégalaise en 2023
-
Sénégal : le FMI prévoit une baisse de la croissance économique pour 2024
-
Faible représentativité des femmes : les féministes plaident "l'inclusion des femmes et des filles" dans les instances de gouvernance