L’Union des magistrats du Sénégal (Ums) condamne de manière ferme les attaques perpétrées à leur corporation. Pour son président, Souleymane Teliko, «si on ne laisse pas ces choses, c’est la porte ouverte à l’anarchie». Toutefois, il souligne que : «tout n'était pas faux» dans les propos de Cheikh Bamba Dièye.
«C’est vrai qu’il y a une part d’exagération mais, il y a une part de vérité. Et, cette part de vérité là, il faut qu’on l’assume», reconnaît le président de l'Ums.
Souleymane Téliko de souligner que : «de manière générale, l’Ums ne peut pas se constituer partie civile pour le compte d’un membre qui a été personnellement visé. Par contre, précise Souleymane Teliko, l’Ums condamne de manière ferme toutes ces attaques personnelles qui ne se justifient pas».
Poursuivant il ajoute, «quand on est pas d’accord avec une décision de la justice, vous devez exercer les voies de recours qui ont été prévues par la loi, mais vous ne devez pas vous en prendre personnellement à des magistrats».
Et de prévenir, «si on ne laisse pas ces choses, c’est la porte ouverte à l’anarchie». Avant d'informer par ailleurs, que, «l’Ums est la première à considérer qu’il y a des problèmes, mais quand il y a des problèmes, on doit les régler par la réflexion en asseyant autour d’une table pour voir quelles sont les solutions qu’il faut mais pas par des attaques. Surtout quand cela proviennent d’une personne qui aspire à diriger ce pays », déplore-t-il en marge de l’Assemblée nationale de l’Ums tenue ce week-end à Saly.
«C’est vrai qu’il y a une part d’exagération mais, il y a une part de vérité. Et, cette part de vérité là, il faut qu’on l’assume», reconnaît le président de l'Ums.
Souleymane Téliko de souligner que : «de manière générale, l’Ums ne peut pas se constituer partie civile pour le compte d’un membre qui a été personnellement visé. Par contre, précise Souleymane Teliko, l’Ums condamne de manière ferme toutes ces attaques personnelles qui ne se justifient pas».
Poursuivant il ajoute, «quand on est pas d’accord avec une décision de la justice, vous devez exercer les voies de recours qui ont été prévues par la loi, mais vous ne devez pas vous en prendre personnellement à des magistrats».
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