La région de l'Extrême-Nord du Cameroun avait retrouvé un calme relatif depuis près de deux mois. Selon les autorités camerounaises, le kamikaze, qui se déplaçait en moto, a enclenché sa ceinture d'explosifs à proximité du marché de Mora.
Une attaque qui porte la signature de Boko Haram, selon le porte-parole du gouvernement Issa Tchiroma Bakary. « Il n’y a pas l’ombre d’un doute que c’est l’œuvre Boko Haram. C’est eux qui nous livrent cette guerre asymétrique. Ils savent que militairement, armée contre armée, ils ne peuvent plus. Maintenant ils ont recours à cette pratique odieuse. »
Ce nouvel attentat survient alors que la force multinationale mixte parle d'un affaiblissement de Boko Haram. Ces derniers mois, la force à détruit des camps d'entraînement des terroristes et repris des lieux stratégiques, comme Damasak.
Depuis trois ans, l'Extrême-Nord du Cameroun a subi plusieurs attaques meurtrières à partir du nord-est du Nigeria. Malgré la formation de comités de vigilance parmi la population, les risques d'attentat restent réels.
« C’est pratiquement impossible de prévenir ou d’empêcher à 100 % de telles agressions. C’est une guerre asymétrique. De tels évènements malheureusement surviendront de temps en temps jusqu’au moment où nous aurons éradiqué Boko haram », déplore le ministre de la Communication Issa Tchiroma Bakary.
Selon le gouvernement camerounais, la guerre contre Boko Haram a déjà fait plus d'un millier de victimes dans le pays.
Source: Rfi.fr
Une attaque qui porte la signature de Boko Haram, selon le porte-parole du gouvernement Issa Tchiroma Bakary. « Il n’y a pas l’ombre d’un doute que c’est l’œuvre Boko Haram. C’est eux qui nous livrent cette guerre asymétrique. Ils savent que militairement, armée contre armée, ils ne peuvent plus. Maintenant ils ont recours à cette pratique odieuse. »
Ce nouvel attentat survient alors que la force multinationale mixte parle d'un affaiblissement de Boko Haram. Ces derniers mois, la force à détruit des camps d'entraînement des terroristes et repris des lieux stratégiques, comme Damasak.
Depuis trois ans, l'Extrême-Nord du Cameroun a subi plusieurs attaques meurtrières à partir du nord-est du Nigeria. Malgré la formation de comités de vigilance parmi la population, les risques d'attentat restent réels.
« C’est pratiquement impossible de prévenir ou d’empêcher à 100 % de telles agressions. C’est une guerre asymétrique. De tels évènements malheureusement surviendront de temps en temps jusqu’au moment où nous aurons éradiqué Boko haram », déplore le ministre de la Communication Issa Tchiroma Bakary.
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