Dans le cadre des préparatifs de la prochaine 14ème biennale de l’art africain qui va se dérouler les mois de mai/juin 2020 au Sénégal, la Fédération Africaine sur l’Art Photographique FAAP et Waru Studio ont organisé à Dakar, le 19 août (Journée mondiale de la photographie) une Rencontre d’échanges et de décryptage du thème de la Dak’Art : I NDAFFA / FORGER OUT OF THE FIRE.
Une Rencontre qui a permis aux artistes de mieux comprendre le thème de la prochaine biennale, aminée par Dr Babacar Mbaye Diop, ancien Secrétaire général de Dak’Art, qui invite les artistes à réfléchir sur «l’utopie, les mythes». «Les Mythes inspirent les communautés» consolide M. Diop qui trouve le thème est très ouvert.
Selon l’auteur de «Critiques de la notion d’art africain» le mot «I NDAFFA n’existe pas en sérère (langue locale). La Biennale doit corriger le titre.» Il trouve l’idée de choisir un titre en langue locale, très intéressante mais suggère «d’impliquer l’expertise des linguistes.»
«La Rencontre débouchera sur des dossiers d’artistes pour la Dak’Art 2020» a dit le photographe Mamadou Gomis, qui ajoute : «Le temps où la photographie semblait annoncer une fin est quasiment derrière nous. C’est la recomposition en cours entre remise à plat et effervescence qu’il est aujourd’hui nécessaire de préciser les contours.» M. Gomis conclut en affirmant que «cette Rencontre constitue également un relai promotionnel de la culture et de la photographie artistique qui sont au cœur des missions de la FAAP.
Une Rencontre qui a permis aux artistes de mieux comprendre le thème de la prochaine biennale, aminée par Dr Babacar Mbaye Diop, ancien Secrétaire général de Dak’Art, qui invite les artistes à réfléchir sur «l’utopie, les mythes». «Les Mythes inspirent les communautés» consolide M. Diop qui trouve le thème est très ouvert.
Selon l’auteur de «Critiques de la notion d’art africain» le mot «I NDAFFA n’existe pas en sérère (langue locale). La Biennale doit corriger le titre.» Il trouve l’idée de choisir un titre en langue locale, très intéressante mais suggère «d’impliquer l’expertise des linguistes.»
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