A moins d’une semaine du Grand Magal de Touba qui va réunir des millions de fidèles, le comité de la prévention au niveau du ministère de la Santé s’est réuni pour sonner l’alerte et évaluer la situation.
Face à la presse, Dr Mamadou Ndiaye, directeur de la prévention déclare qu’à ce jour, lundi 22 octobre 2018, «sur les 221 prélèvements traités, nous avons pu recueillir 54 cas positifs. Et parmi ces cas, il faut signaler que y a des cas guéris». Il ajoute que : «200 agents des services d’hygiènes ont été déployés à Touba pour veiller sur cette maladie».
A en croire le Docteur, les services du ministère de la Santé sont dans une recherche active pour stopper la maladie. «Nous sommes dans le contexte du Magal, on va vers une recherche active, on exploite les registres et lorsqu’on voit un cas positif, les services d’hygiènes vont vers sa maison et pulvérisent », explique-t-il.
Pour sa part, le médecin Colonel Moussa Dieng Sarr qui a pris part à la rencontre, alerte les populations en informant qu’ «il n’existe pas de vaccin pour cette maladie». Selon lui, «les mesures de luttes reposent essentiellement sur la lutte contre le vecteur, c’est-à-dire empêcher la transmission du virus du moustique de l’homme malade vers un homme sain à travers la piqûre qui se fait pendant la journée».
«Ce sont les mêmes mesures prises dans le cadre de la lutte contre le paludisme à savoir dormir sous une moustiquaire, qui sont prises en compte dans la cadre de la lutte contre la dengue», renseignent-ils.
Face à la presse, Dr Mamadou Ndiaye, directeur de la prévention déclare qu’à ce jour, lundi 22 octobre 2018, «sur les 221 prélèvements traités, nous avons pu recueillir 54 cas positifs. Et parmi ces cas, il faut signaler que y a des cas guéris». Il ajoute que : «200 agents des services d’hygiènes ont été déployés à Touba pour veiller sur cette maladie».
A en croire le Docteur, les services du ministère de la Santé sont dans une recherche active pour stopper la maladie. «Nous sommes dans le contexte du Magal, on va vers une recherche active, on exploite les registres et lorsqu’on voit un cas positif, les services d’hygiènes vont vers sa maison et pulvérisent », explique-t-il.
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