La coalition publiez ce que vous payez compte porter le combat pour l'adoption du code minier. Et, pour une meilleure transparence, la structure exige des compagnies minières la publication de ce qu’elles paient aux Etats et, à ces derniers, de publier ce qu’ils reçoivent des dites sociétés.
Selon le président de la coalition (PCQVP), Ibrahima Sory Diallo, ce qui tient dans l’immédiat, c’est le processus de rédaction du code minier, qui est en cours. «Nous allons veiller à ce qu’il soit adopté, avec les meilleures conditions pour le Sénégal, et pour les communautés vivants dans les zones d’exploitation», a-t-il déclaré.
L’avant-projet du nouveau code est déjà dans le circuit et 23 points sur 26 proposés par cette structure ont été retenus, informe le président qui soutient que : «le Sénégal a déjà son code de transparence. Il n’y a aucune raison pour que les contrats ne soient pas publiés».
A cause du mauvais souvenir des 400 milliards de F Cfa perdus par le Sénégal entre 2009 et 2013, dû à des exonérations fiscales, la coalition PCQVP souhaite que tous les manquements soient répertoriés afin d’éviter les mêmes erreurs.
Pour éviter la malédiction des ressources naturelles, les efforts du Sénégal contre l’opacité dans ce domaine ont été couronnés par la participation à l’ITIE, campe le président dans "l'enquête", en rappelant qu’un ancien ministre des Mines l’avait qualifiée «de grosse farce».
Selon le président de la coalition (PCQVP), Ibrahima Sory Diallo, ce qui tient dans l’immédiat, c’est le processus de rédaction du code minier, qui est en cours. «Nous allons veiller à ce qu’il soit adopté, avec les meilleures conditions pour le Sénégal, et pour les communautés vivants dans les zones d’exploitation», a-t-il déclaré.
L’avant-projet du nouveau code est déjà dans le circuit et 23 points sur 26 proposés par cette structure ont été retenus, informe le président qui soutient que : «le Sénégal a déjà son code de transparence. Il n’y a aucune raison pour que les contrats ne soient pas publiés».
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