La Convergence Démocratique des Alliés Républicains (CDAR) demande le pardon pour Ousmane Sonko. D’après la CDAR, l’acte de révocation de l’ex-Inspecteur des Impôts et Domaines, est légale mais pas opportun au regard du contexte socio-politique. Ce mouvement proche de la mouvance présidentielle invite le Chef de l’Etat à revenir sur sa décision dans le but de préserver la paix sociale au Sénégal.
«En vertu de la disposition de l’article 14 de la loi 61-33 régissant le code du fonctionnaire, il est écrit qu’indépendamment des règles restituées dans le Code pénal, en matière de secret professionnel, tout fonctionnaire est lié par l’obligation de discrétion professionnelle. Et si l’agent outrepasse cette décision, il est passible de sanction pouvant aller jusqu’à la radiation. Et on a tous constaté que Monsieur Sonko était bel et bien dans des actes similaires à cela. Donc, on ne peut pas parlementer ou attaquer l’acte du point de vue de la légalité», pose Omar Seck.
Soulignant qu’«un acte ou une position politique a deux (2) principes: la légalité ou l’opportunité », ce dernier indique que «par rapport à l’opportunité, la CDAR se lève pour dire que le moment n’est pas très bien choisi».
«On va vers des élections législatives et depuis le dialogue national convoqué par le président de la République, il y a eu des supputations de tous les côtés, les acteurs politiques ont manifesté leurs désaccords par rapport à certains actes pris par le président de la République, je pense qu’il serait beaucoup plus sage d’appeler à la stabilité et à la concordance des cœurs. Comme il l’a fait tout récemment avec le cas Karim Wade, la CDAR demande au président Sall de revenir sur sa décision », tranche-t-il au micro de la Rfm.
«En vertu de la disposition de l’article 14 de la loi 61-33 régissant le code du fonctionnaire, il est écrit qu’indépendamment des règles restituées dans le Code pénal, en matière de secret professionnel, tout fonctionnaire est lié par l’obligation de discrétion professionnelle. Et si l’agent outrepasse cette décision, il est passible de sanction pouvant aller jusqu’à la radiation. Et on a tous constaté que Monsieur Sonko était bel et bien dans des actes similaires à cela. Donc, on ne peut pas parlementer ou attaquer l’acte du point de vue de la légalité», pose Omar Seck.
Soulignant qu’«un acte ou une position politique a deux (2) principes: la légalité ou l’opportunité », ce dernier indique que «par rapport à l’opportunité, la CDAR se lève pour dire que le moment n’est pas très bien choisi».
«On va vers des élections législatives et depuis le dialogue national convoqué par le président de la République, il y a eu des supputations de tous les côtés, les acteurs politiques ont manifesté leurs désaccords par rapport à certains actes pris par le président de la République, je pense qu’il serait beaucoup plus sage d’appeler à la stabilité et à la concordance des cœurs. Comme il l’a fait tout récemment avec le cas Karim Wade, la CDAR demande au président Sall de revenir sur sa décision », tranche-t-il au micro de la Rfm.
Autres articles
-
Distribution de flyers : Abdou Karim Gueye et ses compagnons recouvrent la liberté
-
Budget 2026 des Forces armées : plus de 437 milliards FCFA pour renforcer la défense nationale
-
Budget 2026 : le ministre des Forces armées met l’accent sur la sécurité, les infrastructures et le bien-être des soldats
-
Arrestation de Karim Gueye et Cie : le Collectif du Peuple dénonce une "restriction des libertés publiques"
-
Etat de santé de Farba Ngom : l’APR met en garde contre les risques liés à son maintien en détention





Distribution de flyers : Abdou Karim Gueye et ses compagnons recouvrent la liberté


