La mort de la jeune Aicha Diallo, âgée de 12 ans, à l’hôpital de Pikine fait polémique. Internée depuis vendredi, elle a rendu l’âme ce lundi pour «non-assistance à une personne en danger», renseigne la mère de la victime.
«Elle est tombée de l’étage, elle a eu une hémorragie interne après avoir été perforée par un bois. Une fois à l’hôpital, les médecins ont fait plus de 24 heures avant l’opération et on devait l’opérer sur le champ. On est arrivé à l’hôpital le vendredi 13 octobre jusqu’au dimanche 15 octobre, presque minuit, on ne l'a pas consulté », dit-elle. Avant d’ajouter: «Quand on la mettait sous perfusion, elle me disait, maman mon sang commence à monter. Et quand j’appelle les docteurs pour leur informer de ça, ils me disent on arrive alors qu’ils ne viennent pas. Quand j’insiste, ils me disent, madame tu fais doucement avec nous, si je leur dis l’enfant souffre, ils me répondent, et alors ?»
Poursuivant, la maman indique qu'«ils ne la donnaient pas des anti douleurs, ils lui administraient seulement des perfusions sérum-salé. Ma fille a pleuré jusqu’à sa mort. Aucun médecin ne la regardait. C’est à la dernière minute, qu’on l’a amené pour l’opérer mais c‘était trop tard».
Et, elle bat en brèche l’information selon laquelle la fille aurait été délaissée pour défaut de moyens. «Tout ce qu’ils ont demandé, je l’ai payé. L’opération a été signée et on devait payer après l’intervention. Et, même après sa mort on nous a fait payer 115 000 F CFa », déplore-t-elle sur Zik Fm.
«Elle est tombée de l’étage, elle a eu une hémorragie interne après avoir été perforée par un bois. Une fois à l’hôpital, les médecins ont fait plus de 24 heures avant l’opération et on devait l’opérer sur le champ. On est arrivé à l’hôpital le vendredi 13 octobre jusqu’au dimanche 15 octobre, presque minuit, on ne l'a pas consulté », dit-elle. Avant d’ajouter: «Quand on la mettait sous perfusion, elle me disait, maman mon sang commence à monter. Et quand j’appelle les docteurs pour leur informer de ça, ils me disent on arrive alors qu’ils ne viennent pas. Quand j’insiste, ils me disent, madame tu fais doucement avec nous, si je leur dis l’enfant souffre, ils me répondent, et alors ?»
Poursuivant, la maman indique qu'«ils ne la donnaient pas des anti douleurs, ils lui administraient seulement des perfusions sérum-salé. Ma fille a pleuré jusqu’à sa mort. Aucun médecin ne la regardait. C’est à la dernière minute, qu’on l’a amené pour l’opérer mais c‘était trop tard».
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