« Créer les conditions de l’émergence d’une force politique capable de proposer une alternative face à l’échec des partis politiques ». C’est du moins l’objectif que s'est fixé le mouvement « Askanwi Mooñu Soxal
» (AMS). Selon son président, Mouhamadou Lamine Beye, l’économie extravertie, la mauvaise gestion des ressources du pays, entres autres constats, ont motivé la mise sur pied des conditions d’émergence dudit mouvement.
« Partant du constat que le pays ne va pas bien, et de nombreux indicateurs qui montrent que la situation ne s’améliore pas, notamment avec la pauvreté qui est loin d’être maîtrisée. La classe politique traditionnelle, non seulement, ne parvient pas à offrir des réponse satisfaisantes aux défis d’aujourd’hui, mais aggrave la situation à promouvoir une économie extravertie. Face a cette situation, force est de constater, que des individuelles ne suffisent pas. Et il est certain que si chacun ne prend pas sa part de responsabilité et d’initiative nous n’arriverons jamais à inverser la tendance afin de réaliser un changement radical des bases de l’économie capable de relever le défis », dit-il.
Pour relever ce défi, l’AMS opte pour un changement de paradigme sur la gestion des ressources naturelles, des deniers publics entres autres. Un engagement pris par Mouhamadou Lamine Guèye, président du mouvement. « Nous affirmons que la politique est l’affaire de tous et de chacun. Que nous devons nous mêler de ce qui nous regarde, de prendre les responsabilités qui nous incombent, pour réaliser collectivement la maîtrise de nos vie et de nos existences », soutient le banquier, M. Guèye.
» (AMS). Selon son président, Mouhamadou Lamine Beye, l’économie extravertie, la mauvaise gestion des ressources du pays, entres autres constats, ont motivé la mise sur pied des conditions d’émergence dudit mouvement.
« Partant du constat que le pays ne va pas bien, et de nombreux indicateurs qui montrent que la situation ne s’améliore pas, notamment avec la pauvreté qui est loin d’être maîtrisée. La classe politique traditionnelle, non seulement, ne parvient pas à offrir des réponse satisfaisantes aux défis d’aujourd’hui, mais aggrave la situation à promouvoir une économie extravertie. Face a cette situation, force est de constater, que des individuelles ne suffisent pas. Et il est certain que si chacun ne prend pas sa part de responsabilité et d’initiative nous n’arriverons jamais à inverser la tendance afin de réaliser un changement radical des bases de l’économie capable de relever le défis », dit-il.
Pour relever ce défi, l’AMS opte pour un changement de paradigme sur la gestion des ressources naturelles, des deniers publics entres autres. Un engagement pris par Mouhamadou Lamine Guèye, président du mouvement. « Nous affirmons que la politique est l’affaire de tous et de chacun. Que nous devons nous mêler de ce qui nous regarde, de prendre les responsabilités qui nous incombent, pour réaliser collectivement la maîtrise de nos vie et de nos existences », soutient le banquier, M. Guèye.
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