C'est ce lundi 19 décembre 2016 à partir de 15 heures que l'Association Sénégalaise pour le Suivi et l'Assistance aux Malades Mentaux (ASSAMM) doit battre le macadam contre la recrudescence de la violence et de la criminalité au Sénégal. Prévue sur l'axe, Place de l'Obélisque – Rts, la manifestation a pour but de sensibiliser les populations pour le rétablissement d'un climat de paix entre les membres de la société.
«Malheureusement, aucune notification de la part du Préfet de Dakar ne nous est parvenue. Pourtant, ce dernier a été saisi à temps et la Police en charge de l'enquête en la matière, a également fait correctement son travail depuis le jeudi 08 décembre 2016. Alors, pourquoi jusqu'à présent nous n'avons pas reçu une notification ? Comment une pareille injustice peut-elle nous être infligée encore qu'il s'agit d'une marche de sensibilisation pour la paix, indispensable au développement d'un pays ? Non, il faut que cesse désormais cette pratique qui n'honore pas le Sénégal, le droit à la marche étant garanti par la Constitution», décrie le président de l’Association.
Pour rappel, après l'Atelier tenu le lundi 21 novembre 2016, cette marche allait constituer la seconde phase du plan d'actions d'Ansoumana Dione et Cie, pour lutter contre ces graves fléaux.
Pour cela, l'ASSAMM interpelle le Président Macky Sall, «pour l'instauration d'une loi fixant un délai pour la livraison par l'autorité administrative, de la notification aux organisateurs de manifestations pacifiques, après l'enquête menée par la Police, comme avec les 72 heures, exigées pour toute déclaration», dans une note parvenue à Pressafrik.com.
«Malheureusement, aucune notification de la part du Préfet de Dakar ne nous est parvenue. Pourtant, ce dernier a été saisi à temps et la Police en charge de l'enquête en la matière, a également fait correctement son travail depuis le jeudi 08 décembre 2016. Alors, pourquoi jusqu'à présent nous n'avons pas reçu une notification ? Comment une pareille injustice peut-elle nous être infligée encore qu'il s'agit d'une marche de sensibilisation pour la paix, indispensable au développement d'un pays ? Non, il faut que cesse désormais cette pratique qui n'honore pas le Sénégal, le droit à la marche étant garanti par la Constitution», décrie le président de l’Association.
Pour rappel, après l'Atelier tenu le lundi 21 novembre 2016, cette marche allait constituer la seconde phase du plan d'actions d'Ansoumana Dione et Cie, pour lutter contre ces graves fléaux.
Pour cela, l'ASSAMM interpelle le Président Macky Sall, «pour l'instauration d'une loi fixant un délai pour la livraison par l'autorité administrative, de la notification aux organisateurs de manifestations pacifiques, après l'enquête menée par la Police, comme avec les 72 heures, exigées pour toute déclaration», dans une note parvenue à Pressafrik.com.
Autres articles
-
Ordre national du Lion et du Mérite : le Président Diomaye décore les femmes et hommes aux "parcours exemplaires"
-
Sit-in des marchands ambulants: le collectif réclame des solutions de recasement durables face aux déguerpissements
-
Kolda : une convoyeuse déférée après la saisie de psychotropes et de 2 kg de chanvre indien
-
Affaire Aziz Dabala : Tarba Mbaye auditionné puis libéré, le chanteur attendu à nouveau à la DIC
-
Retrait de Netflix de ses offres : le CNRA accorde une prolongation à Canal+Sénégal




Ordre national du Lion et du Mérite : le Président Diomaye décore les femmes et hommes aux "parcours exemplaires"


