La désormais ex-présidente de l’Office national contre la fraude et la corruption (OFNAC) est décidée à aller jusqu’au bout dans son recours pour «excès de pouvoir». Et elle l’a confié à des proches et surtout à sa famille qui a tenté de la dissuader. Même si l’Inspectrice Générale d’Etat (IGE) a clairement indiqué que «la page OFNAC est définitivement tournée pour elle», elle est d’avis que par «principe, pour être quitte avec sa conscience et ses convictions républicaines », elle est déterminée à saisir la Cour suprême.
Convaincue que «nous sommes dans un Etat de droit», elle pense que ce recours entre dans l’ordre normal des choses. Toutefois, elle ne se fait pas d’illusion sur la suite qui sera donnée à son recours. «Il n’est pas dans mes intentions de s’accrocher à quelque poste que ce soit. Je n’en ai pas besoin, j’en ai pas le droit. Il s’agit plutôt de défendre la justice et les lois qui la composent», confie-t-elle.
«L’OFNAC, c’est cinq (5) lettres, j’en ai fait ce qu’il est aujourd’hui. Je tourne la page mais pour la postérité, je ne compte pas me plier et me taire face à ce que je considère comme des erreurs qui peuvent impacter négativement sur la marche de la République », assure la désormais ex-présidente de l’OFNAC.
Pour Nafi Ngom Keïta, relaie «La Tribune», «Dieu est le Seul juge (…) Il est impossible de ternir la réputation d’une dame qui a sué et a consenti beaucoup de sacrifices pour arriver à ce stade».
Convaincue que «nous sommes dans un Etat de droit», elle pense que ce recours entre dans l’ordre normal des choses. Toutefois, elle ne se fait pas d’illusion sur la suite qui sera donnée à son recours. «Il n’est pas dans mes intentions de s’accrocher à quelque poste que ce soit. Je n’en ai pas besoin, j’en ai pas le droit. Il s’agit plutôt de défendre la justice et les lois qui la composent», confie-t-elle.
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