Roger Nkodo Dang, président du Parlement panafricain réélu le 10 mai dernier est soupçonné de corruption au sein de l’organe qu’il dirige à l’Union africaine. Une série de décisions strictes ont été prise par les membres du conseil exécutif non seulement pour une enquête approfondie dans ce sens, mais également une suspension temporaire du budget du parlement.
Des irrégularités ont été constatées depuis sa prise de fonction et des motifs de mauvaise gestion se multiplient. En outre, ce scandale survient quelques semaines seulement après la démission du haut cadre Daniel Batidam d’origine ghanéenne qui n’en pouvait plus des mauvaises pratiques observées au sein du conseil consultatif de lutte contre la corruption à l’union africaine.
Au Cameroun, certains font déjà le rapprochement entre les différents évènements de ces dernières semaines qui se sont succédés au sein de l’instance africaine. Il se pourrait donc qu’il y ait eu effectivement une mauvaise gestion mais surtout une corruption. Pour d’autres, faut prendre du recul et ne pas tomber dans le piège de certains médias qui espère être lus.
Le président du parlement panafricain s’est donc exprimé le 2 juillet dernier sur la chaine nationale Camerounaise pour démentir ces accusations. Selon lui, il n’a jamais été indexé en matière de gestion du budget.
Il a notamment qualifié la presse camerounaise de "presse de ventre et presse tribale" qui n'est pas bien informée
Des irrégularités ont été constatées depuis sa prise de fonction et des motifs de mauvaise gestion se multiplient. En outre, ce scandale survient quelques semaines seulement après la démission du haut cadre Daniel Batidam d’origine ghanéenne qui n’en pouvait plus des mauvaises pratiques observées au sein du conseil consultatif de lutte contre la corruption à l’union africaine.
Au Cameroun, certains font déjà le rapprochement entre les différents évènements de ces dernières semaines qui se sont succédés au sein de l’instance africaine. Il se pourrait donc qu’il y ait eu effectivement une mauvaise gestion mais surtout une corruption. Pour d’autres, faut prendre du recul et ne pas tomber dans le piège de certains médias qui espère être lus.
Le président du parlement panafricain s’est donc exprimé le 2 juillet dernier sur la chaine nationale Camerounaise pour démentir ces accusations. Selon lui, il n’a jamais été indexé en matière de gestion du budget.
Il a notamment qualifié la presse camerounaise de "presse de ventre et presse tribale" qui n'est pas bien informée
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