La collectivité léboue est dans la phase de réorganisation, qui commence par la réinstallation de l’assemblée des freys qui sera suivie de l’inventaire du patrimoine foncier et financier du village, estimé à plus de 100 milliards de F CFA et géré de manière désastreuse sans aucune comptabilité. C’est la raison pour laquelle, Officiers de l’armée à la retraite, cadres de l’administration, professeurs, enseignants, jeunes, ect…, se sont tous réunis pour mettre en place un comité pour la réhabilitation de Ouakam pour les générations futures.
«Toute personne qui aurait payé pour acquérir une partie de ce site n’a qu’à réclamer ses fonds, parce que ces terres ne sont pas à vendre et ne pourraient être vendus», déclare le président des jeunes de la collectivité léboue, Daour Ndoye. Et de poursuivre: «Nous sommes dans la perspective d’un très profond contentieux, parce que c’est un terrain en indivisibilité appartenant à la collectivité, bien identifiable, impropre à la vente à des tiers».
A l’en croire, «à cause des transactions douteuses, beaucoup de jeunes ont abandonné l’école pour vendre des terrains. Du jour au lendemain, des cadets d’environ 25 ans se sont retrouvés avec 1 million de f Cfa, pour des jeunes qui n’avaient jamais de telles somme». Il ajoute dans "l'As" que «ces jeunes ont goûté à l’argent facile. Et quand il n’y a plus eu de terrains à vendre, ils se sont lancés dans le trafic de drogue et les agressions».
«Nous voulons remettre en place le système social. Rakk topp makk, doom topp baay (le cadet suit l’aîné, L’enfant suit le père)», clôt Daour Ndoye.
«Toute personne qui aurait payé pour acquérir une partie de ce site n’a qu’à réclamer ses fonds, parce que ces terres ne sont pas à vendre et ne pourraient être vendus», déclare le président des jeunes de la collectivité léboue, Daour Ndoye. Et de poursuivre: «Nous sommes dans la perspective d’un très profond contentieux, parce que c’est un terrain en indivisibilité appartenant à la collectivité, bien identifiable, impropre à la vente à des tiers».
A l’en croire, «à cause des transactions douteuses, beaucoup de jeunes ont abandonné l’école pour vendre des terrains. Du jour au lendemain, des cadets d’environ 25 ans se sont retrouvés avec 1 million de f Cfa, pour des jeunes qui n’avaient jamais de telles somme». Il ajoute dans "l'As" que «ces jeunes ont goûté à l’argent facile. Et quand il n’y a plus eu de terrains à vendre, ils se sont lancés dans le trafic de drogue et les agressions».
«Nous voulons remettre en place le système social. Rakk topp makk, doom topp baay (le cadet suit l’aîné, L’enfant suit le père)», clôt Daour Ndoye.
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