«Nous avons appris que ce vendredi 18 décembre 2015, l’Assemblée nationale va examiner en plénière un projet de textes sur les universités. Si vous vous rappeler bien, le SAES (Syndicat Autonome de l’Enseignement Supérieur) s’était battu contre cette loi qui avait été votée en catimini par. Et nous avions en tout cas au terme de cette bataille obtenu son retrait. Il y avait des accords avec le gouvernement au mois de mars pour que justement nous puissions rediscuter cette loi. Et normalement dans les termes des accords, il avait été prévu d’avoir un atelier avec le ministre de l’Enseignement supérieur, le gouvernement de façon général, le SAES et les députés qui étaient garants de cet accord. Au lieu de convoquer cet atelier, (Mari Teuw Niane) a préféré une fois de plus s’entêter à amener une version non consensuelle de la loi non discutée avec un profond désaccord sur l’article 3 à l’Assemblée nationale », rage le Secrétaire général du SAES à Saint-Louis.
Selon David Célestin Faye au micro de Walf, «le SAES s’oppose à la formulation actuelle qui donne en tout cas tous les droits au ministère en terme de sélection des bacheliers. Le SAES avertit que depuis la signature du protocole d’accords, il n’y a aucune avancée sur les points d’accords… ». «Si cette loi-là revient à être votée par les députés, le SAES se battra. Nous allons en tout cas nous présenter ce vendredi devant l’Assemblée comme le peuple l’a fait le 23 juin pour se battre », avertit le syndicaliste.
Selon David Célestin Faye au micro de Walf, «le SAES s’oppose à la formulation actuelle qui donne en tout cas tous les droits au ministère en terme de sélection des bacheliers. Le SAES avertit que depuis la signature du protocole d’accords, il n’y a aucune avancée sur les points d’accords… ». «Si cette loi-là revient à être votée par les députés, le SAES se battra. Nous allons en tout cas nous présenter ce vendredi devant l’Assemblée comme le peuple l’a fait le 23 juin pour se battre », avertit le syndicaliste.
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