La validation du Guide sur l’Ethique Journalistique et les droits de l’enfant, qui a été lancée aujourd’hui par la CAPE et l’UNICEF, est le fruit d’après Ramatoulaye Ndao Diouf, conseillère spéciale du Président de la République et coordonnatrice de la CAPE, d’intenses réflexions et échanges lors des séminaires de sensibilisation à l’intention des acteurs des médias, tenu le mois de février dernier.
Les médias et l’enfant ont-ils quelques choses en commun ?
Selon la coordonnatrice de la CAPE, «pour tenter de répondre à cette question, ce guide, s’interrogera, dans un premier temps, sur la notion même de droits de l’enfant. Et dans un second temps, il analysera la singularité de l’enfant, être en développement particulièrement sensible à la violence».
C’est la raison pour laquelle, Mme Diouf annonce «l’existence du Comité de Suivi des Droits de l’Enfant dans les Médias (CSDEM), qui sera présidé par Mame Less Camara «journaliste formateur émérite»». Selon la coordonnatrice, il revient à ce Comité qui regroupe des associations et des écoles de formation de journalistes, de s’approprier l’outil que constitue le guide».
Ramatoulaye Ndao Diouf de préciser que «le but rechercher, c’est d’avoir une information qui soit meilleure, qui soit de qualité et qui soit surtout respectueuse des droits de l’enfant». «Parce qu’aujourd’hui, nous voyons qu’il y a beaucoup de dérives dans la presse et que les droits de l’enfant ne sont pas respectés dans les traitements notamment le droit à l’image, la protection ces données etc…», regrette-t-elle.
A l’en croire, «parfois nous voyons certaines images dégradantes dans les médias et nous pensons que c’est dû à un manque de formation». "Nous avons commencé à travailler avec le Cesti et l’Issic, tout d’abord et nous avons invités d’autres écoles de formation de journalistes», affirme la conseillère spéciale du Chef de l'Etat, pour qui «l’idée est d’introduire avec l’appui de l’UNICEF, dans les mesures de formation continue et dans les modules de formation initiale des journalistes, un module qui soit spécialisé aux droits de l’enfant».
Ainsi, «tout journaliste qui a une formation dans cette ligne connaisse non seulement le droit des enfants mais également qu’il puisse traiter l’image de façon adéquate et de ne pas heurter la sensibilité de l’enfant».
Les médias et l’enfant ont-ils quelques choses en commun ?
Selon la coordonnatrice de la CAPE, «pour tenter de répondre à cette question, ce guide, s’interrogera, dans un premier temps, sur la notion même de droits de l’enfant. Et dans un second temps, il analysera la singularité de l’enfant, être en développement particulièrement sensible à la violence».
C’est la raison pour laquelle, Mme Diouf annonce «l’existence du Comité de Suivi des Droits de l’Enfant dans les Médias (CSDEM), qui sera présidé par Mame Less Camara «journaliste formateur émérite»». Selon la coordonnatrice, il revient à ce Comité qui regroupe des associations et des écoles de formation de journalistes, de s’approprier l’outil que constitue le guide».
Ramatoulaye Ndao Diouf de préciser que «le but rechercher, c’est d’avoir une information qui soit meilleure, qui soit de qualité et qui soit surtout respectueuse des droits de l’enfant». «Parce qu’aujourd’hui, nous voyons qu’il y a beaucoup de dérives dans la presse et que les droits de l’enfant ne sont pas respectés dans les traitements notamment le droit à l’image, la protection ces données etc…», regrette-t-elle.
A l’en croire, «parfois nous voyons certaines images dégradantes dans les médias et nous pensons que c’est dû à un manque de formation». "Nous avons commencé à travailler avec le Cesti et l’Issic, tout d’abord et nous avons invités d’autres écoles de formation de journalistes», affirme la conseillère spéciale du Chef de l'Etat, pour qui «l’idée est d’introduire avec l’appui de l’UNICEF, dans les mesures de formation continue et dans les modules de formation initiale des journalistes, un module qui soit spécialisé aux droits de l’enfant».
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