Le constat est fait par le Conseil des Entreprises du Sénégal (CDES) : les Petites et Moyennes Entreprises (PME) restent vulnérables. Estimant leur taux de mortalité à 65 %, le CDES propose la création d’un observatoire national des PME.
Une «plateforme e. registration» qui, d’après Babacar Diagne, président du CDES, permettra aux PME d’avoir accès aux marchés. «L’Etat pourrait ainsi avoir un bon baromètre pour faire le suivi et l’évaluation des PME Sénégalaises».
Par ailleurs, le CDES invite l’Etat à octroyer à toute PME qui intègre la plateforme «un quitus fiscal, IPRES, Caisse de Sécurité Sociale, qui sont obligatoires pour participer aux appels d’offres».
Expliquant le fort taux de mortalité des PME par de «nombreuses difficultés d’accès à la commande publique», Babacar Diagne propose, en outre, «de mettre fin à tous ces goulots d’étranglement qui empêchent les PME d’accéder à la commande publique». «20% de cette commande est octroyée aux micros et petites entreprises (mais) les procédures administratives sont assez lourdes vu la configuration structurels des PME».
Fort de ce fait, le CDES demande à ce que le montant soit ramené à «25% du marché pour les entreprises nouvellement créées et inscrites à la plate-forme e-registration».
Une «plateforme e. registration» qui, d’après Babacar Diagne, président du CDES, permettra aux PME d’avoir accès aux marchés. «L’Etat pourrait ainsi avoir un bon baromètre pour faire le suivi et l’évaluation des PME Sénégalaises».
Par ailleurs, le CDES invite l’Etat à octroyer à toute PME qui intègre la plateforme «un quitus fiscal, IPRES, Caisse de Sécurité Sociale, qui sont obligatoires pour participer aux appels d’offres».
Expliquant le fort taux de mortalité des PME par de «nombreuses difficultés d’accès à la commande publique», Babacar Diagne propose, en outre, «de mettre fin à tous ces goulots d’étranglement qui empêchent les PME d’accéder à la commande publique». «20% de cette commande est octroyée aux micros et petites entreprises (mais) les procédures administratives sont assez lourdes vu la configuration structurels des PME».
Fort de ce fait, le CDES demande à ce que le montant soit ramené à «25% du marché pour les entreprises nouvellement créées et inscrites à la plate-forme e-registration».
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