Réunis ce vendredi 4 juillet 2025 au siège de l’Ordre des Architectes du Sénégal (ODAS), les professionnels du secteur du bâtiment ont lancé un cri d’alarme face à la recrudescence des effondrements d’immeubles, un phénomène devenu aussi fréquent que dramatique dans le pays. Selon l’Inspection Générale des Bâtiments (IGB), plus de 1400 immeubles sont aujourd’hui considérés comme menaçant ruine à travers le territoire.
« Les tragédies sont malheureusement habituelles dans le secteur de la construction au Sénégal avec des effondrements d'immeubles en usage ou en cours de construction », a déclaré Papa Dame Thiaw, vice-président de l’ODAS.
« Durant ces dernières années, des catastrophes ont eu lieu dans une récurrence qui interpelle les acteurs de la construction avec des victimes, pertes financières, matérielles incommensurables », a-t-il ajouté.
Selon lui, les diagnostics des effondrements révèlent des failles systémiques : absence d’études de sol, l’utilisation de matériaux non conformes, le recours à une main-d’œuvre non qualifiée et des contrôles largement insuffisants.
« Un immeuble qui s’effondre est un échec collectif. L’art de bâtir est à repenser quand le bâtiment tue », a martelé Papa Dame Thiaw.
Les professionnels des bâtiments appellent à l’unité et à la responsabilité collective, pour endiguer ce phénomène devenu récurrent.
« Notre responsabilité collective dans la sécurité d'un bâtiment ne saurait être imputée à un seul acteur, mais à l'ensemble de la chaîne issue de la conception à la dernière brique posée avant la réception », a dit le président de l’ODAS.
« Les tragédies sont malheureusement habituelles dans le secteur de la construction au Sénégal avec des effondrements d'immeubles en usage ou en cours de construction », a déclaré Papa Dame Thiaw, vice-président de l’ODAS.
« Durant ces dernières années, des catastrophes ont eu lieu dans une récurrence qui interpelle les acteurs de la construction avec des victimes, pertes financières, matérielles incommensurables », a-t-il ajouté.
Selon lui, les diagnostics des effondrements révèlent des failles systémiques : absence d’études de sol, l’utilisation de matériaux non conformes, le recours à une main-d’œuvre non qualifiée et des contrôles largement insuffisants.
« Un immeuble qui s’effondre est un échec collectif. L’art de bâtir est à repenser quand le bâtiment tue », a martelé Papa Dame Thiaw.
Les professionnels des bâtiments appellent à l’unité et à la responsabilité collective, pour endiguer ce phénomène devenu récurrent.
« Notre responsabilité collective dans la sécurité d'un bâtiment ne saurait être imputée à un seul acteur, mais à l'ensemble de la chaîne issue de la conception à la dernière brique posée avant la réception », a dit le président de l’ODAS.
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