La première phase du PECCS qui constitue un modèle d’intervention dans lequel la production culturelle, étant donnée sa capacité à créer des richesses et des emplois, est envisagé comme un instrument de développement, s’est déroulée du 10 novembre 2008 au 30 novembre 2010. Les responsables de ce projet, qui vise à renforcer le rôle des artistes, des créateurs et des agents culturels au moyen d’un éventail d’activités telles que la sensibilisation, la formation et le conseil spécialisé, ont, au cours d’une rencontre avec les journalistes et les acteurs culturels, fait le bilan de cette première phase.
C’est ainsi que le Directeur exécutif du projet, Abdoulaye Koundoul a révélé que «60 porteurs de projets sélectionnés sur 200 candidatures reçues venant des divers secteurs de la culture (musique, audiovisuel, patrimoine, théâtre…) ont bénéficié de ce service». Et d’indiquer que «les bénéficiaires du projet sont issus des 14 régions du Sénégal mais aussi de 3 pays de la sous région à savoir la Guinée Conakry, le Togo et le Burkina Faso».
Cependant, dans ces projets portés essentiellement par des hommes, on note une faible présence des femmes. Ce qui justifiera, selon Mr Koundoul, l’organisation de la session exclusive réservée aux femmes (15 femmes porteuses de projets).
Le Directeur exécutif du projet de faire savoir qu’«à côté de la formation régulière ont également été organisées des sessions de formations ponctuelles avec 160 participants, portant sur des modules homologués par le Bureau International du Travail (BIT) comme le TRIE (Trouver son Idée d’Entreprise) et le CREE (Créer son Entreprise), la propriété intellectuelle, les outils et stratégies du développement culturel, l’économie de la culture».
Ce programme, qui offre des moyens d’assurer que les projets d’entreprise culturelle soient à la fois rentables et durables, et constituent une source de développement et de productivité, a, dans sa première phase, mise en place quatre cycles de formation en gestion de projets pour entrepreneurs culturels.
C’est ainsi que le Directeur exécutif du projet, Abdoulaye Koundoul a révélé que «60 porteurs de projets sélectionnés sur 200 candidatures reçues venant des divers secteurs de la culture (musique, audiovisuel, patrimoine, théâtre…) ont bénéficié de ce service». Et d’indiquer que «les bénéficiaires du projet sont issus des 14 régions du Sénégal mais aussi de 3 pays de la sous région à savoir la Guinée Conakry, le Togo et le Burkina Faso».
Cependant, dans ces projets portés essentiellement par des hommes, on note une faible présence des femmes. Ce qui justifiera, selon Mr Koundoul, l’organisation de la session exclusive réservée aux femmes (15 femmes porteuses de projets).
Le Directeur exécutif du projet de faire savoir qu’«à côté de la formation régulière ont également été organisées des sessions de formations ponctuelles avec 160 participants, portant sur des modules homologués par le Bureau International du Travail (BIT) comme le TRIE (Trouver son Idée d’Entreprise) et le CREE (Créer son Entreprise), la propriété intellectuelle, les outils et stratégies du développement culturel, l’économie de la culture».
Ce programme, qui offre des moyens d’assurer que les projets d’entreprise culturelle soient à la fois rentables et durables, et constituent une source de développement et de productivité, a, dans sa première phase, mise en place quatre cycles de formation en gestion de projets pour entrepreneurs culturels.
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