Que ce soit à Grand-Bassam, Kinshasa ou Bangui, ces dernières semaines ces villes ont connu d’importantes inondations. Cette année, ce sont deux millions de personnes qui ont été directement touchées sur le continent.
Pour Lorenzo Carrera, spécialiste de la gestion des risques à la Banque mondiale qui organise cette conférence, l’important est de développer des systèmes de protection des populations. « En pratique, cela va de systèmes dits “doux” comme des systèmes d’alerte précoce, jusqu’aux infrastructures permettant de protéger des inondations. »
Et parmi ces solutions de fond, il y a la modélisation 3D des terrains permettant d’anticiper les risques d’inondations. Mais qui coûte cher. « Les données que nous avons, ce sont données qui sont libres, donc que l’on peut télécharger n’importe où, mais la précision n’est pas très élevée, explique Jacques Dembele, enseignant chercheur à l’université de Bamako. Nous avons des précisions de 30 mètres alors que pour que le travail soit bien fait, il faut que les précisions puissent descendre à 1 mètre ou 15 cm s’il le faut. »
Les gouvernements ne sont pas toujours prêts à payer pour des données de qualité. Mais pour Alix Roumagnac, créateur de l’application MyPredict, ce sont dans les partenariats publics-privés que se trouvent des solutions.
« Lorsqu’on met en sécurité des biens, lorsqu’on met en sécurité des vies, lorsqu’on explique aux politiques que toutes ces données, tous ces modèles, toutes ces applications servent à sauver des vies, des biens économiques, là le monde économique peut financer ce système. Notamment le monde de l’assurance. »
Des assurances qui doivent parfois couvrir les dégâts causés par des inondations toujours plus fréquentes.
Pour Lorenzo Carrera, spécialiste de la gestion des risques à la Banque mondiale qui organise cette conférence, l’important est de développer des systèmes de protection des populations. « En pratique, cela va de systèmes dits “doux” comme des systèmes d’alerte précoce, jusqu’aux infrastructures permettant de protéger des inondations. »
Et parmi ces solutions de fond, il y a la modélisation 3D des terrains permettant d’anticiper les risques d’inondations. Mais qui coûte cher. « Les données que nous avons, ce sont données qui sont libres, donc que l’on peut télécharger n’importe où, mais la précision n’est pas très élevée, explique Jacques Dembele, enseignant chercheur à l’université de Bamako. Nous avons des précisions de 30 mètres alors que pour que le travail soit bien fait, il faut que les précisions puissent descendre à 1 mètre ou 15 cm s’il le faut. »
Les gouvernements ne sont pas toujours prêts à payer pour des données de qualité. Mais pour Alix Roumagnac, créateur de l’application MyPredict, ce sont dans les partenariats publics-privés que se trouvent des solutions.
« Lorsqu’on met en sécurité des biens, lorsqu’on met en sécurité des vies, lorsqu’on explique aux politiques que toutes ces données, tous ces modèles, toutes ces applications servent à sauver des vies, des biens économiques, là le monde économique peut financer ce système. Notamment le monde de l’assurance. »
Des assurances qui doivent parfois couvrir les dégâts causés par des inondations toujours plus fréquentes.
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