Sur la corniche aux alentours du marché Soumbédioune en allant vers la cour de cassation, des pirogues sont rangées sur le bord de la mer. C’est à coté des ces pirogues que se trouvent des personnes qui cherchent de l’or. Ils sont en groupes de cinq à dix sur une grande surface. Mais d’autres sont à l’écart et travaillent individuellement sur leurs projets. Leurs habits sont sales, poussiéreux et parfois même déchirés. Le décor est complété par des bassines remplies d’eau de mer, des tas de sable, des tables et des sacs contenant de sable provenant de quelques forges.
Par son calme et sa sérénité, un homme retient notre attention. Il est de taille moyenne, teint noir et costaud. Amadou Bâ âgé de 25 ans est d’origine guinéenne. Il travaille dans ce secteur depuis bientôt un an. « Ce travail est difficile et ce que je gagne est maigre car en trois mois je n’ai obtenu seulement que 100 000F CFA mais cela vaut mieux que rien », confit-il. Amadou comme ces autres amis lave le sable sur une table. Ces tables sont confectionnées de sorte que l’eau ruisselle et apporte le sable par terre. Sur les tables sont étalées des moquettes qui permettent de retenir la poudre d’or mélangée au sable qu’ils lavent. C’est cette poudre qu’ils rassemblent jusqu'à atteindre une certaine quantité destinée à la vente.
Un peu à l’écart un groupe de jeunes travailleurs s’activent, ils viennent de la ville de Pita en Guinée Conakry. Une dizaine de jeunes qui travaillent pour le compte de leur chef Moussa Bâ. Ces derniers utilisent du sable qu’ils payent auprès des bijoutiers. Leur chef à l’instar de tous les autres est entrain de travailler et ne parle pas beaucoup. Il ne fait que donner des ordres comme « amenez de l’eau, s’il vous plait du sable ». Moussa le doyen dans le milieu raconte : « les choses ne sont plus comme elles étaient car nous ne gagnons plus comme auparavant ». Même son de cloche de la part d’Alpha Diallo qui a abandonné ce travail pour s’adonner à la confection des paniers.
Mais apparemment tout ce beau monde s’active autour de ce sable pour des poussières d’or en entendant d’avoir mieux comme nous le confit Mamadou Saliou Diallo, ce père de famille venu de sa Guinée natale,« je fais ce travail parce que je ne trouve pas mieux. Mais une chose est sûre un jour je vais laisser pour faire autre chose. Car ici non seulement tu te fatigues mais ce que tu gagnes ne peut pas te faire vivre avec ta famille ».
Par son calme et sa sérénité, un homme retient notre attention. Il est de taille moyenne, teint noir et costaud. Amadou Bâ âgé de 25 ans est d’origine guinéenne. Il travaille dans ce secteur depuis bientôt un an. « Ce travail est difficile et ce que je gagne est maigre car en trois mois je n’ai obtenu seulement que 100 000F CFA mais cela vaut mieux que rien », confit-il. Amadou comme ces autres amis lave le sable sur une table. Ces tables sont confectionnées de sorte que l’eau ruisselle et apporte le sable par terre. Sur les tables sont étalées des moquettes qui permettent de retenir la poudre d’or mélangée au sable qu’ils lavent. C’est cette poudre qu’ils rassemblent jusqu'à atteindre une certaine quantité destinée à la vente.
Un peu à l’écart un groupe de jeunes travailleurs s’activent, ils viennent de la ville de Pita en Guinée Conakry. Une dizaine de jeunes qui travaillent pour le compte de leur chef Moussa Bâ. Ces derniers utilisent du sable qu’ils payent auprès des bijoutiers. Leur chef à l’instar de tous les autres est entrain de travailler et ne parle pas beaucoup. Il ne fait que donner des ordres comme « amenez de l’eau, s’il vous plait du sable ». Moussa le doyen dans le milieu raconte : « les choses ne sont plus comme elles étaient car nous ne gagnons plus comme auparavant ». Même son de cloche de la part d’Alpha Diallo qui a abandonné ce travail pour s’adonner à la confection des paniers.
Mais apparemment tout ce beau monde s’active autour de ce sable pour des poussières d’or en entendant d’avoir mieux comme nous le confit Mamadou Saliou Diallo, ce père de famille venu de sa Guinée natale,« je fais ce travail parce que je ne trouve pas mieux. Mais une chose est sûre un jour je vais laisser pour faire autre chose. Car ici non seulement tu te fatigues mais ce que tu gagnes ne peut pas te faire vivre avec ta famille ».
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