La gestion par la société saoudienne Saudi Bin Ladin Group de la construction de l’Aéroport International Blaise Diagne (AIBD) n’a pas été éprouvante que pour les pouvoirs publics, lassés de devoir avancer des dates de livraison qui étaient toujours repoussées, alors que s’accumulaient les avenants à la construction du chantier. «Le Quotidien» a pu apprendre que les entreprises sous-traitantes, ainsi que les concessionnaires des Saoudiens, n’ont pas encore cessé de broyer du noir.
L’entreprise Saoudienne de BTP serait redevable à près de d’une cinquantaine d’entreprises sénégalaises, d’un montant de près de 23 milliards de F CFA qui représente l’accumulation de prestations diverses.
Si certaines entreprises déplorent des retards pour le retard des recouvrements de quelques dizaines de millions de F CFA, d’autres chiffrent les montants dus à plusieurs milliards.
Les sociétés pétrolières qui livraient le carburant nécessaire aux véhicules ainsi qu’aux groupes électrogènes et autres machineries estiment que le montant cumulé de leurs créances devrait à l’heure actuelle dépasser les quatre (4) milliards de F CFA.
D’autres chargés de fournir des terres spéciales entrant dans la composition des pistes et des ciments, parlent de montants avoisinant les 500 millions de F CFA….
«Nous travaillons sur de nouvelles bases, nous ne sommes liés en rien avec les contrats passés en son temps par la Saudi Bin Ladin », affirmait le Directeur du chantier de Diass, Selim Erkal du consortium turc Summa-Limak qui a repris les travaux laissés à l’abandon par les Saoudiens.
L’entreprise Saoudienne de BTP serait redevable à près de d’une cinquantaine d’entreprises sénégalaises, d’un montant de près de 23 milliards de F CFA qui représente l’accumulation de prestations diverses.
Si certaines entreprises déplorent des retards pour le retard des recouvrements de quelques dizaines de millions de F CFA, d’autres chiffrent les montants dus à plusieurs milliards.
Les sociétés pétrolières qui livraient le carburant nécessaire aux véhicules ainsi qu’aux groupes électrogènes et autres machineries estiment que le montant cumulé de leurs créances devrait à l’heure actuelle dépasser les quatre (4) milliards de F CFA.
D’autres chargés de fournir des terres spéciales entrant dans la composition des pistes et des ciments, parlent de montants avoisinant les 500 millions de F CFA….
Autres articles
-
Tomboronkoto (Kédougou) : un camion se renverse, l'apprenti dans un état critique
-
Hivernage pluvieux annoncé par l’Anacim : Cheikh Tidiane Dièye prend des mesures contre les risques d’inondation
-
Kédougou : Les forces de l'ordre mettent fin aux activités clandestines d'orpaillage de plusieurs Burkinabés
-
Ponctions sur les salaires des travailleurs du Crous de l'UAM : le Satus hausse le ton
-
CFEE : les Inspecteurs de l’éducation et de la formation invités à développer des stratégies pour booster les résultats en 2024