
Les députés de Rewmi et de l’Alliance Pour la République (APR) ne se font plus de cadeaux dans l’hémicycle. Ils ont pris l’option d’une autre forme de lutte pour s’abattre. Les députés de Rewmi sont même déterminés à aller jusqu’au bout de cette bataille car n’ayant pas toujours digéré le coup du renouvellement du bureau de la représentation nationale marqué par le départ d’une des leurs, Mariama Diallo au profit de la coalition de la majorité parlementaire, Benno Bokk Yaakaar (BBY).
L’espoir déjà brisé pour Rewmi de mettre en place un groupe parlementaire dans l’hémicycle, les apéristes qui n’en ont pas fini avec Idrissa Seck et Cie mettent tous les moyens pour récupérer d’autres députes de la formation qu’ils considèrent actuellement comme l’unique adversaire du moment.
Pis, les plus hautes autorités engagent de nouvelles procédures pour ne pas avoir des surprises du camp de l’ennemi actuel, une stratégie visant à sécuriser l’alliance et l’APR pour éviter d’éventuelles surprises venant des manœuvres du jeune rewmiste, Thierno Bocoum.
Une alerte générale est lancée avec une opération dé sécurisation appelé « Karangué » en vue de stabiliser tout un chacun et de maintenir les acquis dans l’alliance et pour les élus de l’APR. La bataille se prolonge dans les débats télévisés et les radios ou tous les coups sont permis pour « abattre » l’adversaire. Un combat qui commence à polluer l’atmosphère de l’hémicycle où selon un député non inscrit qui se confie au journal « l’observateur » lâche que « les deux camps ne se tirerons pas sain et sauf».
L’espoir déjà brisé pour Rewmi de mettre en place un groupe parlementaire dans l’hémicycle, les apéristes qui n’en ont pas fini avec Idrissa Seck et Cie mettent tous les moyens pour récupérer d’autres députes de la formation qu’ils considèrent actuellement comme l’unique adversaire du moment.
Pis, les plus hautes autorités engagent de nouvelles procédures pour ne pas avoir des surprises du camp de l’ennemi actuel, une stratégie visant à sécuriser l’alliance et l’APR pour éviter d’éventuelles surprises venant des manœuvres du jeune rewmiste, Thierno Bocoum.
Une alerte générale est lancée avec une opération dé sécurisation appelé « Karangué » en vue de stabiliser tout un chacun et de maintenir les acquis dans l’alliance et pour les élus de l’APR. La bataille se prolonge dans les débats télévisés et les radios ou tous les coups sont permis pour « abattre » l’adversaire. Un combat qui commence à polluer l’atmosphère de l’hémicycle où selon un député non inscrit qui se confie au journal « l’observateur » lâche que « les deux camps ne se tirerons pas sain et sauf».
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