Taouedeni, Menaka, Tombouctou, Gao : aucune de ces régions n'a eu son mot à dire dans la nomination des autorités intérimaires, affirme Mohamed Ousmane Ag Mohamedoun. Tous les partis qui composent la CMA, à l'exception du HCUA se sont réunis à Bamako pour dénoncer les décision « unalitérales », selon ses propos, prises à Kidal.
« Aucune action venant de ces autorités, choisies dans ces conditions exclusives, ne nous engagera. Ni dans le processus de DDR, ni dans le cantonnement », assure à RFI, Mohamed Ousmane Ag Mohamedoun, de la Coordination des peuples de l’Azawad (CMA), l’ex-rébellion. Car ces décisions unilatérales proviennent d'une seule et même région selon lui. « D'une seul et même région et d'un seul et même mouvement sinon deux : le MNLA et le HCUA, et à Kidal. Cela n'engage pas les autres régions ! »
Ces membres de la CMA ne comprennent pas pourquoi un conseil des ministres extraordinaire a été réuni si soudainement pour faire passer un décret. Alors qu'une réunion de consultation sur ces mêmes autorités intérimaires était prévue lundi. Ce décret, disent-ils, légitime la division du pays.
LA CMA se divise et à la question : peut-on encore d'une coordination des mouvements de l'Azawad, la réponse est immédiate : « oui... pour l'instant ».
« Aucune action venant de ces autorités, choisies dans ces conditions exclusives, ne nous engagera. Ni dans le processus de DDR, ni dans le cantonnement », assure à RFI, Mohamed Ousmane Ag Mohamedoun, de la Coordination des peuples de l’Azawad (CMA), l’ex-rébellion. Car ces décisions unilatérales proviennent d'une seule et même région selon lui. « D'une seul et même région et d'un seul et même mouvement sinon deux : le MNLA et le HCUA, et à Kidal. Cela n'engage pas les autres régions ! »
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