
Dans une interview qu’il a accordé au journal l’Observateur, le Secrétaire général de l’Alliance des forces de progrès (AFP), Moustapha Niasse dément catégoriquement les accusations du Chef de l’Etat Me Abdoulaye Wade concernant son bateau de pétrole qu’il aurait détourné. «Si c’était un bateau détourné il y a 20 ans je serais aujourd’hui dans la rue» dira-t-il avant d’ajouter: «ce Monsieur (Wade) peut-il me laisser avec cette affaire-là, avec tout ce que je dis et fais contre lui et son régime». Niasse de se demander s’il est possible de «voler 25 Milliards FCFA avec un gouvernement qui a besoin d’argent», sans que personne ne lui réclame le moindre sou? Il rejette ainsi la thèse de détournement de ce bateau de pétrole.
Cette accusation de Wade n’est autre qu’«une volonté de tromper les sénégalais» a regretté M. Niasse.
Pour disposer d’un bateau de pétrole «vous voyez votre banque de premier ordre qui émet une lettre de crédit en direction de l’Etat ou de la société qui va vendre ce pétrole» a expliqué le Secrétaire général de l’AFP. «Sans cette lettre, il n’y a pas de bateau de pétrole. Comment un tiers ou une banque peut verser 25 milliards et que quelqu’un puisse réussir à le détourner? » s’interroge M. Niasse. «Pourquoi le Trésor nigérian à qui cet argent était destiné ne réclamerait-il pas son argent » s’est-il encore interrogé-t-il. Et de reconnaitre: «le Nigéria n’accepterait de me laisser ses 25 milliards, sans me poursuivre»
Cette accusation de Wade n’est autre qu’«une volonté de tromper les sénégalais» a regretté M. Niasse.
Pour disposer d’un bateau de pétrole «vous voyez votre banque de premier ordre qui émet une lettre de crédit en direction de l’Etat ou de la société qui va vendre ce pétrole» a expliqué le Secrétaire général de l’AFP. «Sans cette lettre, il n’y a pas de bateau de pétrole. Comment un tiers ou une banque peut verser 25 milliards et que quelqu’un puisse réussir à le détourner? » s’interroge M. Niasse. «Pourquoi le Trésor nigérian à qui cet argent était destiné ne réclamerait-il pas son argent » s’est-il encore interrogé-t-il. Et de reconnaitre: «le Nigéria n’accepterait de me laisser ses 25 milliards, sans me poursuivre»
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