Réunis au sein d'une association appelée Coordination des étudiants de Saint-Louis, les camarades de Fallou Sène ont saisi jeudi, Amnesty International Sénégal pour que justice soit faite dans cette affaire, quelques mois après la promesse du président Macky Sall , lors d'une visite à l'Université Cheikh Anta Diop de Dakar.
"On ne peut pas concevoir que, dans un pays de droit, on constate de telles violations flagrantes. il faut que le droit soit dit. Les autorités étatiques, qui ont promis de faire de faire toute la lumière sur cette affaire, doivent respecter leur parole", estime l'un des cadres de la coordination, Alioune Guèye.
"Le gendarme qui a tiré sur Fallou a reconnu son acte", si l'on en croit à M. Guèye, pour qui, cette affaire est une question de corporatisme. "Le tueur est un gendarme, c'est pourquoi le ministre des Forces Armées rechigne à le poursuivre, mais le mouvement estudiantin, résolu comme jamais entend unir ses forces à celles de Amnesty pour le respect des droits humains", déclare-t-il.
Pour le directeur de Amnesty International Seydi Gassama, il n'y a pas le moindre doute sur l'identité du meurtrier et d'ajouter: "Quelque que soit position sociale, le prévenu ne doit pas être exempt du droit. Il a fauché une vie humaine et doit payer pour cela".
"On ne peut pas concevoir que, dans un pays de droit, on constate de telles violations flagrantes. il faut que le droit soit dit. Les autorités étatiques, qui ont promis de faire de faire toute la lumière sur cette affaire, doivent respecter leur parole", estime l'un des cadres de la coordination, Alioune Guèye.
"Le gendarme qui a tiré sur Fallou a reconnu son acte", si l'on en croit à M. Guèye, pour qui, cette affaire est une question de corporatisme. "Le tueur est un gendarme, c'est pourquoi le ministre des Forces Armées rechigne à le poursuivre, mais le mouvement estudiantin, résolu comme jamais entend unir ses forces à celles de Amnesty pour le respect des droits humains", déclare-t-il.
Pour le directeur de Amnesty International Seydi Gassama, il n'y a pas le moindre doute sur l'identité du meurtrier et d'ajouter: "Quelque que soit position sociale, le prévenu ne doit pas être exempt du droit. Il a fauché une vie humaine et doit payer pour cela".
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