
Rien de nouveau dans l'affaire impliquant Oustaz Assane Seck, « proche » de Ousmane Sonko, leader de l’opposition. Le juge en charge de l'instruction a rejeté sa dernière demande de mise en liberté provisoire. C'est la cinquième fois que sa requête est déclarée « irrecevable ».
En détention préventive depuis mai dernier, le concerné fait face à des accusations graves, notamment « atteinte à la sûreté de l'État, appel à l'insurrection, et actes visant à perturber l'ordre public ». Selon les informations de Libération, le magistrat instructeur a émis une ordonnance de règlement et a transmis le dossier au parquet pour recueillir son réquisitoire définitif. La décision finale du juge interviendra après l'émission du réquisitoire par le procureur.
Les motifs précis du rejet de la demande de liberté provisoire ne sont pas encore clairement définis, mais l'affaire a attiré l'attention en raison des déclarations antérieures d'Oustaz Assane Seck. Celui-ci avait affirmé que « soit Ousmane Sonko est candidat, et il gagnera l'élection présidentielle, soit il n'est pas candidat et le pays brûle. » Ces propos ont alimenté les accusations portées contre lui.
En détention préventive depuis mai dernier, le concerné fait face à des accusations graves, notamment « atteinte à la sûreté de l'État, appel à l'insurrection, et actes visant à perturber l'ordre public ». Selon les informations de Libération, le magistrat instructeur a émis une ordonnance de règlement et a transmis le dossier au parquet pour recueillir son réquisitoire définitif. La décision finale du juge interviendra après l'émission du réquisitoire par le procureur.
Les motifs précis du rejet de la demande de liberté provisoire ne sont pas encore clairement définis, mais l'affaire a attiré l'attention en raison des déclarations antérieures d'Oustaz Assane Seck. Celui-ci avait affirmé que « soit Ousmane Sonko est candidat, et il gagnera l'élection présidentielle, soit il n'est pas candidat et le pays brûle. » Ces propos ont alimenté les accusations portées contre lui.
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